Abstract

The author reviews her use of landscape as the starting point for her oil paintings and her search for a method of color harmony on the basis of an assumed color-music scale correspondence.

After discussing the Ostwald color system she presents her analogy between a simplified Ostwald color scale and the classical piano keyboard range of 88 musical tones.

The use of her analogy is then demonstrated by analysing several of her paintings and a painting by Matisse. She also describes two of her attempts to transpose two musical compositions into paintings. The advantages and disadvantages of her method are considered, leading her to a reconsideration of the value of using chance in her work.

L’auteur expose son utilisation des paysages en tant que point de départ de ses peintures à l’huile, ainsi que sa recherche d’une méthode d’harmonie des couleurs sur la base du principe d’une correspondance des échelles de couleurs et de musique.

Après avoir discuté le système de couleurs d’Ostwald, elle présente son analogie entre une échelle de couleurs d’Ostwald simplifiée et un clavier classique de piano de 88 touches de musique.

Elle démontre ensuite l’utilisation de cette analogie en analysant plusieurs de ses tableaux, ainsi qu’une toile de Matisse. Elle décrit également deux essais de transposition de deux œuvres musicales en tableaux. Les avantages et désavantages de sa méthode sont étudiés, ce qui la conduit à reconsidérer la valeur de l’utilisation des effets de hasard dans son œuvre.

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