Abstract

Étudiant des représentations narratives de la vie réduite ou lacunaire, cet essai montre comment ces figures épistémiques polémiques sont destinées à infirmer des définitions extra-littéraires du vivant stigmatisées comme déficientes et permettent aux écrivains de s’insérer dans le débat aujourd’hui ravivé de ce qui mérite le nom de vie.

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