Abstract

Cet article explore la distribution spatiale du crime à Ottawa en 2006. La théorie de la désorganisation sociale et la théorie de l’activité routinière fournissent le cadre théorique de l’examen des liens entre les taux de cambriolage, de vols qualifiés et de vol de voitures et les deux universités d’Ottawa : l’Université d’Ottawa et l’Université Carleton. Une régression spatiale tenant compte de l’autocorrélation spatiale est utilisée lors de l’analyse. Nos résultats, qui appuient l’utilisation de la théorie de la désorganisation sociale et la théorie de l’activité routinière, confirment les liens entre les variables sociodémographiques et socio-économiques et le crime. Nous avons aussi découvert que les universités sont les variables explicatives les plus importantes concernant les taux de cambriolage et de vol de voitures.

Abstract

This article explores the spatial distribution of crime in Ottawa in 2006. Social disorganization theory and routine activity theory provide the theoretical framework for examining the relationship between the rates of burglary, robbery, and motor vehicle theft, and the two universities, University of Ottawa and Carleton University. A spatial regression procedure that accounts for spatial autocorrelation is used in the analyses. We find support for the use of social disorganization theory and routine activity theory, with the expected relationships between the socio-demographic and socio-economic variables and crime. We also find that universities are the strongest predictors of the rates of burglary and motor vehicle theft.

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