Abstract

This study focuses on the pedagogical applications of structural priming research in an English for academic purposes (EAP) context, investigating whether priming activities are an effective tool for eliciting production of target grammatical structures. University students across four EAP classes carried out a total of 6 information-exchange activities over a 13-week semester. Some students received information-exchange activities that provided models of the target structures (e.g., primes), while other students received activities without any models. Analysis of the students’ novel utterances generated from sentence fragments (e.g., prompts) indicated that students who carried out the priming activities produced more target structures following prime sentences than they did in the absence of primes. In addition, students who did priming activities produced significantly more relative clauses and adverbial clauses overall than did students who carried out the activities without models, but there was no difference in their production of passives. Implications and suggestions for instructors interested in incorporating priming activities in L2 classrooms are discussed.

Cette étude s’intéresse aux applications pédagogiques d’une recherche sur l’amorçage structurel en contexte d’anglais pour les études (APÉ). Elle cherche à savoir si les activités d’amorçage constituent un outil efficace pour provoquer la production de structures grammaticales cibles. Les étudiants de quatre cours universitaires d’APÉ ont participé à six activités d’échange d’information au cours d’un trimestre de treize semaines. Certains ont participé à des activités où les modèles des structures cibles (les amorces) étaient fournis, et d’autres à des activités où ces modèles ne l’étaient pas. L’analyse des énoncés nouveaux produits par les étudiants et générés à partir de fragments de phrases (p. ex. des indices) indique que ceux qui ont réalisé les activités d’amorçage produisent davantage de structures cibles à la suite d’une amorce qu’en l’absence d’amorce. De plus, les étudiants qui ont réalisé les activités d’amorçage produisent significativement plus de propositions relatives et adverbiales, en général, que ceux qui ont réalisé les activités sans modèles; en revanche, il n’y avait pas de différence dans leur production de formes passives. Les conséquences de ces résultats ainsi que des suggestions pour les enseignants qui souhaitent intégrer des activités d’amorçage dans leurs cours de L2 sont présentées.

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