Abstract

This article explores some of the ways in which traditional Micronesian societies used the threat of warfare as an impetus to non-violence or, in other words, as a deterrent. Typically, Micronesians spent a good deal of time preparing for battle; war loomed large in their mytho-history and valour was a key cultural value. But these societies in fact depended heavily upon their dispersed matriclans for a range of alternative options to actual combat. Drawing upon this material, I argue that societies are not necessarily either peaceful or violent and that the appearance of bellicosity can mask deep commitments to avoiding open conflict.

Cet article explore certaines des manières utilisées par les sociétés micronésiennes traditionnelles pour brandir la menace de la guerre comme incitation à la non-violence ou, en d’autres mots, comme un moyen de dissuasion. Habituellement, les Micronésiens passaient beaucoup de temps à se préparer au combat. La guerre occupait une grande place dans leur histoire/mythologie, et le courage constituait une valeur culturelle clé. Mais ces sociétés dépendaient largement de leurs matriclans dispersés pour offrir une variété d’options alternatives aux combats proprement dits. À partir de ce matériel, j’amène l’argument que les sociétés ne sont pas fondamentalement pacifiques ou violentes et que des attitudes en apparence belliqueuses peuvent masquer un engagement profond à éviter les conflits ouverts.

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