Abstract

In recent years, True-3D representations such as lenticular visualization have entered the stage of analogue and, especially, digital cartography. The increase of 3D displays as products of mass media raises some fundamental questions about a new generation of 3D maps. Auto-stereoscopic displays allow cartographers to design 3D maps covering several information layers located at different positions along the depth axis. However, it remains unclear whether the opportunity to spread map information over different information depth layers can improve cartographic communication by helping to increase the duration and accuracy of map reading. This article presents the results of an empirical study, based on the test results achieved by 83 geography students who counted different map symbols in a series of 2D or 3D thematic maps of differing complexity.

Au cours des dernières années, les représentations tridimensionnelles vraies comme la visualisation lenticulaire ont atteint le stade de l’analogie et particulièrement la cartographie numérique. L’augmentation des affichages 3D dans les médias de masse soulève quelques questions fondamentales relatives à une nouvelle génération de cartes 3D. Les affichages auto-stéréoscopiques permettent aux cartographes de dessiner des cartes 3D couvrant plusieurs couches d’informations se trouvant à différentes positions sur l’axe de la profondeur. Toutefois, on ne sait toujours pas avec certitude si la possibilité d’étaler les renseignements cartographiques sur différentes couches de profondeur peut améliorer la communication cartographique en contribuant à l’augmentation de la durée et de l’exactitude de la lecture de la carte. Cet article présente les résultats d’une étude empirique réalisée par 83 étudiants en géographie qui ont compté les résultats de différents tests dans une série de cartes thématiques 2D ou 3D de complexité différente.

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