Abstract

Expressing a visual, indigenous identity in tourism can be a balancing act between maintaining a level of recognition and familiarity that mirrors the expectations of the public imagination and conveying a representation that is locally meaningful and emblematic to hosts. This article addresses this issue through the example of the Nk’Mip Desert Cultural Centre, owned and operated by the Osoyoos Indian Band (OIB) of British Columbia. Semiotic and visual analyses were used to explain the messages about OIB identity that the Centre communicates and to provide a framework to discuss three main issues in tourism discourse: control, hybridity and authenticity.

Abstract

L’expression visuelle de l’identité autochtone dans le secteur touristique s’avère parfois un exercice d’équilibre. Il faut maintenir un niveau de reconnaissance et de familiarité qui répond aux attentes et aux imaginaires du public, mais aussi projeter une représentation qui est localement signifiante et caractéristique des hôtes. Cet article s’intéresse à ce sujet au travers de l’exemple du Nk’Mip Desert Cultural Centre de la bande indienne Osoyoos (BIO) de la Colombie-Britannique. Les messages concernant l’identité de la BIO que véhicule le centre sont étudiés à partir d’analyses sémiotiques et visuelles qui offrent également un cadre pour considérer trois grands enjeux propres au discours sur le tourisme : le contrôle, l’hybridité et l’authenticité.

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