Abstract

In The Myth of the North American City: Continentalism Challenged, Michael A. Goldberg and John Mercer articulate a largely “cultural deterministic” theory of urban development. Cities are shaped, they say, by their society’s cultural framework and “national character.” Given that American and Canadian cultures differ, their cities’ physical forms and governance differ too. Hence, there is no North American city. Using data from opinion surveys conducted in 2010 in Canada and the United States, among other data, we critique the North American City concept and test attitudinal hypotheses consistent with Goldberg and Mercer’s expectations. We concur that the concept of the North American city has little utility but also find little empirical support for most of the authors’ theses. All empirical attitudinal relationships, moreover, are mitigated significantly by factors of language in Canada and race in the United States.

Abstract

Dans The Myth of the North American City: Continentalism Challenged, Michael A. Goldberg et John Mercer présentent une théorie de développement urbain en grande partie « déterministe et culturelle ». Les villes sont développées, dissent-ils, par leur structure culturelle et leur « caractère national ». Étant donné que les cultures américaines et canadiennes sont différentes, leur forme physique et la gouvernance de leurs villes sont différentes aussi. Par conséquent, il n’y a pas de ville nord-américaine. En utilisant les données des enquêtes d’opinion réalisées en 2010 au Canada et aux États-Unis, ainsi que d’autres données, nous critiquons le concept de la ville nord-américaine remettons en question les hypothèses de Goldberg et Mercer. Nous sommes d’accord que le concept de la ville nord-américaine a peu d’utilité, mais aussi, et nous constatons peu de soutien empirique pour les thèses des auteurs. De plus, toutes les attitudes empiriques sont atténuées de façon significative par les facteurs de la langue au Canada et de la race aux États-Unis.

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