Abstract

While Mary Ellmann, Kate Millett, and Judith Fetterley have correctly taken Norman Mailer to task for his more overt representations of misogyny in An American Dream (1965), there have been few efforts to reveal how these representations are as critical as they are symptomatic of an American ethos of expansionistic capitalism and of the oppressive practices that secure masculine hegemony in post-industrial America. Thus, I argue that, rather than merely echoing the lamentation of post–World War II “crisis of masculinity” critics, Mailer explores this alleged crisis in shocking dramatic detail, critiquing the oppressive ideology and practices that sustain hegemonic masculinity and capitalism in America.

Abstract

Bien que Mary Ellmann, Kate Millett, et Judith Fetterley aient correctement pris à partie Norman Mailer pour ses représentations plus que manifestes de la misogynie dans An American Dream (1965), on a effectué peu derecherchevisantàrévéler dequellefaçon ces représentations sont autant critiques que symptomatiques d’un éthos américain de capitalisme expansion-niste et des pratiques oppressives qui concrétisent l’hégémonie masculine dans l’Amérique postindustrielle. Ainsi, je fais valoir que plutôt que de simplement répéter les lamentations des critiques de la « crise de la masculinité » après la Seconde guerre mondiale, Mailer examine cette supposée crise avec de nombreux détails dramatiques, et critique l’idéologie et les pratiques oppressives qui viennent soutenir la masculinité hégémonique et le capitalisme en Amérique.

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