Abstract

La figure de l’hérétique, qui se situe simultanément à la marge de la tradition et de la modernité, permet de penser la diversité des avant-gardes. Cet article propose une lecture de l’œuvre d’Antonin Artaud en tant qu’hérétique. L’auteur revient sur les rapports qu’Artaud a entretenus avec le surréalisme et montre comment ce dernier s’est non seulement posé en tant que critique de l’expérience surréaliste, mais que sa pratique théâtrale en a aussi redéfini le projet révolutionnaire.

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