Abstract

Following the first entry of Canadian troops into battle at 2nd Ypres in April 1915, the machine gun for a time dominated public and political discussion in Canada. Both the Canadian public and the government determined that they needed to do all that they could to get as many of these weapons into the hands of Canadian troops as possible. An examination of this phenomenon reveals much about the mood of the Canadian public and the difficulties experienced by the government as both came to realize in a more urgent sense than ever before just would be involved in waging a war of a scale and intensity that few had conceived of.

Abstract

Après l’envoi au front des premières troupes canadiennes en avril 1915 durant la Deuxième bataille d’Ypres, la mitrailleuse a monopolisé tous les débats publics et politiques au Canada pendant un certain temps. Le public et le gouvernement canadiens avaient décidé de part et d’autre qu’il fallait tout faire pour mettre autant de ces armes que possible dans les mains des troupes canadiennes. L’étude de ce phénomène en dit long sur l’humeur de la population canadienne et sur les difficultés qu’éprouvait le gouvernement canadien quand tous deux prirent plus vivement conscience que jamais des conséquences véritables de mener une guerre d’une ampleur et d’une intensité que peu avaient imaginées.

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