Abstract

This essay examines the durability of Darby Crash, lead singer of the Germs, one of Los Angeles’s earliest punk bands. Crash committed suicide in 1980, but he and the Germs continue to fascinate those familiar with their music and story. This ongoing interest is the result of numerous factors, including the Germs’ music, Crash’s disturbing worldview and charisma, and our more general obsession with celebrity and death. After offering a brief account of Crash’s life and his involvement with the Germs, I discuss his largely closeted queerness, one of the apparent reasons behind his suicide; I consider the idea of authenticity and its importance in the ideology of rock and punk. Then, I contextualize Crash in the culture of the United States and Los Angeles in the late 1970s.

Le présent essai examine la durabilité de Darby Crash, première voix des Germs, l’un des plus anciens groupes punk de Los Angeles. Crash s’est suicidé en 1980, mais les Germs et lui fascinent toujours ceux qui sont familiers avec leur musique et leur histoire. Cet intérêt qui ne se dément pas est le résultat de plusieurs facteurs, dont la musique des Germs, la vision et le charisme de Crash, et notre obsession plus générale envers la célébrité et la mort. Après un bref aperçu de la vie de Crash et de sa participation aux Germs, je parle de son homosexualité inavouée, l’une des raisons apparentes ayant entraîné son suicide. J’examine l’idée d’authenticité et son importance dans l’idéologie du rock et du punk. Puis, je mets en contexte Crash dans la culture des États-Unis et de Los Angeles à la fin des années 1970.

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