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Ruiz de Alarcón. La verdad sospechosa. By the Teatro Experimental Universitario, Santiago, deChile.—Spanish Cultural Index, Nos. 152-53 (Oct. 1, 1958), p. 957. Tirso de Molina. Don Gil de las calzas verdes. At the Montauban Theater Festival (see Spanish Cultural Index, Nos. 152-5 3, Oct. 1, 1958, p. 957); and at the Teatro de Bellas Artes, Ciudad Trujillo, directed by Juan González Chamorro (see ABC, Dec. 4 and 18, 1958). Lope de Vega. La casa de los locos de amor [?]. A German version performed at the Burgtheater, Vienna.—Spanish Cultural Index, No. 150 (July 1, 1958), p. 748. Lope de Vega. El castigo sin venganza. At the Teatro Trianón, Mexico, by the "Teatro Español de México," adapted and directed by Alvaro Custodio, with estreno July 18, 1958.—"La crítica y el Castigo sin venganza" Boletín del Teatro Español de México, V (July-Aug., 1958), 1-3, 5-6. Lope de Vega. ¿De cuando acá nos vino? In repertoire, Wiesbaden, Nov. 12, 1958, as Was kam denn da ms Haus?—K. L. Selig. Lope de Vega. Elena Osorio, a play by the Retiro, Madrid, by the "Teatro de Hoy" Company, directed by Adolfo Marsillach .—Spanish Cultural Index, Nos. 15253 (Oct. 1, 1958), p. 904. Lope de Vega. Elena Osorio, a play by Luis Escobar, on the life of Lope de Vega, at the Goya Theater, Madrid, produced by Manuel Benitez.—Spanish Cultural Index, No. 155 (Dec. 1, 1958), p. 1144. Vélez de Guevara. Reinar después de morir, by Alejandro Ulloa's "Teatro Universal ," in Ciudad Trujillo.—Spanish Cultural Index, No. 150 (July 1, 1958), p. 740. Gil Vicente. Trilogía das Barcas, performed in a new French translation, by Andrée Crabbé Rocha, in Brussels, by Paulo Quintela's group, the Teatro dos Estudantes de Coimbra, who "brought it there as their contribution to the International Festival of University Theaters."—G.M.M., Hispania, XLI, No. 4 (Dec, 1958), p. 533-34. Domestic, but worthy of noté Heartiest congratulations to Professor Carlos Ortigoza, who has directed the University of Colorado's production of Calderon 's drama El alcalde de Zalamea, at Boulder, Colorado, February 22 and 23, 1959. An Aparte to the Querella Calderoniana by H. Tracy Sturcken Penn State University The young (29) Turgenev described enthusiastically his first encounter with the works of Calderón. Briefly, here are excerpts from two letters to Pauline Viardot1: (Paris, 19 décembre 1847) ... Je me jette à corps perdu dans Ie passé. Je lis maintenant Calderón avec acharnement (en espagnol, comme de raison) ; c'est le plus grand poète dramatique catholique qu'il y ait eu, comme Shakespeare, le plus humain, le plus antichrétien. Sa Devoción de la Cruz est un chef-d'oeuvre. Cette foi immuable, triomphante, sans l'ombre d'un doute ou même d'une réflexion, vous écrase à force de grandeur et de majesté, malgré tout ce que cette doctrine a de répulsif et d'atroce. Ce néant de tout ce qui constitue la dignité de l'homme devant la volonté divine, l'indifférence pour tout ce que nous appelons vertu ou vice avec laquelle la grâce se répand sur son élu—est encore un triomphe pour l'esprit humain; car l'être qui proclame ainsi avec tant d'audace son propre néant s'élève par cela même à l'égal de cette Divinité fantastique, dont il se reconnaît être le jouet. Et cette Divinité— c'est encore l'oeuvre de ses mains. . . . Malgré tout, Calderón est un génie bien extraordinaire et vigoureux surtout. Nous autres, faibles descendants de puissants an14 cêtres, nous arrivons tout au plus à être gracieux dans notre faiblesse . . > (Paris, ce 25 décembre Î847) . . . Depuis la dernière lettre que je vous ai écrite, j'ai encore lu un drame de Calderón, la Vida es sueno. C'est une des conceptions dramatiques les plus grandioses que je connaisse. Il y règne une énergie sauvage, un dédain sombre et profond de la vie, une hardiesse de pensées étonnante, à côté du fanatisme catholique le...

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