Abstract

Casual observers might conclude that “Newfoundland music” consisted of variants of Irish and English traditional music and that these forms were undermined by such things as American popular culture during and after the Second World War. This essay examines the broad range of popular music available through the radio and concert hall before the arrival of American troops, and shows that while the occupation of the city by servicemen enhanced the access to American popular culture, it did not introduce something new. People embraced the foreign popular culture as something cosmopolitan and modern. There was a little resistance to American popular culture; Newfoundlanders did not perceive it as threatening a Newfoundland culture, but some people saw music on the radio as a threat to local musical initiative.

Abstract

Des observateurs occasionnels pourraient conclure que la musique de Terre-Neuve était un mélange de variantes de musique traditionnelle irlandaise et anglaise et que ces formes n’étaient pas déterminées par la culture populaire américaine ou autre pendant et après la Seconde Guerre mondiale. Cet essai examine le large éventail de musique populaire offert à la radio et dans les salles de concert avant l’arrivée des troupes américaines et démontre que pendant que l’occupation de la ville par les militaires renforçait l’accès à la culture populaire américaine, elle n’apportait rien de nouveau. Les gens adoptèrent la culture populaire étrangère comme quelque chose de moderne et de cosmopolite. Il y eût une légère résistance à la culture populaire américaine; les Terre-Neuviens ne la percevaient pas comme une menace à la culture terre-neuvienne mais certains considéraient la musique entendue à la radio comme une menace à l’initiative musicale locale.

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