Abstract

Les résultats précédents visant la sensibilisation des aînés aux services de soutien communautaires ne s'accordent pas et sont gâchés par l'acquiescence ou des allégations de partialité. Cela étant, la présente étude a utilisé une série de 12 scénarios pour décrire des situations courantes dans lesquelles se retrouvent les aînés pour qui des services de soutien communautaires seraient appropriés. Lors d'une entrevue téléphonique, nous avons lu à 1152 adultes âgés de 50 et plus une série de scénarios et nous leur avons demandé s'ils pouvaient indiquer un organisme communautaire vers lequel ils pourraient se tourner dans cette situation précise. Nous leur avons aussi interrogés sur leurs plus importantes sources de renseignements en matière de services de soutien communautaires. Les résultats indiquent que, si l'on a recours à une méthodologie par scénarios, la sensibilisation aux services de soutien communautaires était beaucoup plus faible qu'on ne l'avait d'abord pensé. Les plus importantes sources de renseignements sur les services de soutien communautaires comprenaient des sources de référence et des renseignements, l'annuaire téléphonique, les bureaux de médecins, et le bouche-à-oreille.Previous findings on older adults' awareness of community support services (CSSs) have been inconsistent and marred by acquiescence or over-claiming bias. To address this issue, this study used a series of 12 vignettes to describe common situations faced by older adults for which CSSs might be appropriate. In telephone interviews, 1,152 adults aged 50 years and over were read a series of vignettes and asked if they were able to identify a community organization or agency that they may turn to in that situation. They were also asked about their most important sources of information about CSSs. The findings show that, using a vignette methodology, awareness of CSSs is much lower than previously thought. The most important sources of information about CSSs included information and referral sources, the telephone book, doctors' offices, and word of mouth.

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