Abstract

À partir du couple notionnel “orthonymie”/“polysémie,” et en analysant des exemples significatifs –Milan Kundera commentateur de ses traductions françaises et de celles de Kafka, Henri Meschonnic critique des traductions de la Bible et traducteur lui-même – l’étude questionne certaines des difficultés, liées aux conceptions différentes du “sens,” qui traversent la pratique et la théorie de la traduction.

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