Abstract

Using a sample representative of the Canadian population aged 30-59, we assess the extent to which various aspects of work-life balance — in particular, time spent in both paid and unpaid work, and its division in families — produce stressful life conditions. We find that time-crunch is affected largely by the number of hours spent doing paid work, regardless of the type of work being done. The number of hours spent on unpaid work has less impact on time-crunch, though the effect is slightly stronger for women than it is for men. Moreover, being married appears to mitigate the effect of unpaid work on women's time-crunch. Finally, for both men and women, our results suggest that time-crunch is highest for those in family models with complementary roles.

À base d'un échantillon représentatif de la population canadienne aux âges 30–59, nous déterminons jusqu'à quel point les divers aspects de l'utilisation du temps, en particulier le temps du travail payé et non-payé, et sa division dans les familles, produit des conditions de stress. Nous déterminons que le stress est surtout fonction du nombre d'heures du travail rémunéré, peu importe le type de travail. Le nombre d'heures en travail non-rémunéré a un moindre impact sur le stress, quoique cet impact est plus fort chez les femmes. Être mariée réduit l'impact du travail rémunéré pour les femmes. Pour les hommes et les femmes, le stress est plus élevé dans les modèles de familles où le travail est divisé de façon traditionnelle.

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