Abstract

Although there is a small but growing body of literature on Euro-Canadians who acted "with good intentions" towards the First Nations (Haig-Brown and Nock 2006), precious little has been written about those within the ranks of the Department of Indian Affairs who acted benevolently towards the Aboriginal peoples. James Gerry Burk, Indian agent for the Anishinabeg of the western Lake Superior region for three decades (1923-53), was one such individual. He chose to ignore the department's prevailing racist ideology in favour of nurturing the incipient desire for industry and enterprise that he saw first-hand among the Aboriginal constituents of his agency. In the process, he was compelled to overcome numerous obstacles that Indian Affairs placed in his way. As a result, Burk's career stands as a glowing testament to the indomitable spirit of one departmental official's commitment to assisting the Aboriginal peoples.

Abstract

Il existe un petit nombre, toujours croissant, de documents sur les Eurocanadiens ayant agi avec bonne volonté envers les Premières Nations (Haig-Brown et Nock, 2006). Cependant, on retrouve peu d'écrits sur les représentants du ministère des Affaires indiennes qui ont fait preuve de bonne volonté à l'égard des peuples autochtones. M. James Gerry Burk, représentant de la nation Anishinabeg de la région ouest du lac Supérieur pendant trois décennies (1923-1953), était ce genre de personne. Il a décidé de passer outre à l'idéologie raciste populaire au sein du ministère pour encourager le désir naissant de participer à l'industrie et au commerce qu'il a observé personnellement chez les gens représentés par son organisme. Dans le cadre de ce processus, il a dû surmonter de nombreux obstacles érigés par le ministère des Affaires indiennes. En conséquence, la carrière de M. Burk est un exemple frappant de l'esprit indomptable et de l'engagement d'un haut fonctionnaire de ministère à prêter secours aux peuples autochtones.

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