Abstract

This article seeks to address the gap between the quantitative, summative data that are typically engaged in geovisual analytics and the more personal, experiential ways of knowledge construction accentuated by qualitative GIS. By incorporating diverse forms of data within a high-dimensional conceptual framework, we set out a type of qualitative geovisual analytics. This approach is attentive to the epistemological limitations of singular data sources and highlights the multiple ways of exploring neighbourhoods. The article reports on a project that used an online survey, including collection of personal impressions of San Diego neighbourhoods based on street-level video. Three attribute spaces are conceptualized: survey respondents’ characteristics, attributes of San Diego neighbourhoods, and characteristics of the words used to describe these neighbourhoods. The self-organizing map (SOM) technique was used to reduce the dimensionality of these attribute spaces for visual exploration. This approach makes several important contributions, including a demonstration of “scaling up” the work that has been done in qualitative GIS. It productively integrates experiential data with a geovisual analytics approach and reaffirms the multiple meanings of visualization.

Abstract

Cet article vise à combler l’écart entre les données sommatives quantitatives qui servent habituellement en analyse géovisuelle et les façons plus personnelles et expérientielles de construire le savoir mis en évidence par les SIG qualitatifs. En intégrant diverses formes de données dans un cadre conceptuel à hautes dimensions, nous établissons un type d’analyse géovisuelle qualitative. Cette approche tient compte des limites épistémologiques des sources de données uniques et met en évidence les multiples façons d’explorer les quartiers. L’article présente un rapport dans le cadre duquel les chercheurs ont utilisé un sondage en ligne, y compris la collecte d’impressions personnelles de quartiers de San Diego basés sur des vidéos tournées au niveau de la rue. On conceptualise trois espaces représentatifs des caractéristiques : les caractéristiques des répondants au sondage, celles des quartiers de San Diego et celles des mots utilisés pour les décrire. La technique cartographique d’auto-organisation a servi à réduire la dimensionnalité de ces espaces représentatifs aux fins de l’exploration visuelle. Cette approche apporte plusieurs contributions importantes, qui démontrent notamment « l’expansion » des travaux effectués dans les SIG qualitatifs. Sa productivité inclut des données expérientielles et une approche analytique géovisuelle et réaffirme les multiples significations de la visualisation.

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