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58 Sonnet XLII Ce gosse en moi bourré de rêve salive Aux regards de tes mamelles qui m’inscrivent Dans le cœur le sourire à atterrir Sur la piste de ce cœur hâte de sentir Les caresses soyeuses du triomphalisme Des petits tremblements du séisme Spasmodique qui me fait lâcher des gouttes Au point que j’oublie le monde des casse-croutes Et ne puis-je me tourner la tête ailleurs T’ayant trouvée beauté de toutes les fleurs Qui m’oxygène et m’expose trente-deux dents C’est ainsi que suis-je les doigts dans des gants À l’abri des flèches que lâche leur froideur. Loin d’elles, dans mon trou, tu tues la frayeur ! ...

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