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57 Sonnet XLI Beauté, soleil levant de Berrichon As-tu tout y compris des beaux nichons À la source de ma salive qui coulât Comme rivière qui m’emmena au goulag Dans ta cage je me suis fait prisonnier Et t’appelle mon bout. Tu fais tout pour nier Alors qu’en toi je palpe douceur soleil En ton genre n’ayant rien de pareil : Ta voix aux accords de celles angéliques De mon fantasme fantasmagorique. Ma belle berrichonne garde-moi en prison De ta beauté qui m’abrite comme maison Dans laquelle sans souci me sens-je à l’aise Loin d’une qui m’octroie le luxe des punaises. ...

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