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50 Sonnet XXXIV Lorsque près de moi tu respires, j’entends La belle mélodie de la brise qui fend Et sillonne le pré dans lequel le blé Pousse pour égayer des esprits troublés De telles consciences que chatouille ton passage À se dresser toujours de manière sage ; Ma foi qui en fait partie est heureuse D’être l’élue de ton affection pieuse. Ton élégance tel un pinceau sans crainte Dresse le plus beau tableau dans nos étreintes Qui aussi font entendre la musique De nos deux cœurs battant tambour rustique Dont le rythme fait tourner notre monde Autour d’une table visiblement ronde. ...

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