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115 Sonnet XCVI Je n’ose point t’imager en Amérique De mes yeux fermés te bois-je à présent Dans cette maison vitrée de mon cerveau Où tu ne peux te cacher du regard Dans lequel ça baigne au son de musique Qui balaie tout contrit résurgent Laquelle se joue au bas fond du caveau Où je refuse de laisser au hasard La main mise sur ton éclair nostalgique Car en toi, trouve-je ma montagne d’aimant Avec qui je me sens bien dans ma peau Ayant enterré toute peur du renard. Pour toi, j’élis domicile sous ma peau Pour qu’avec Amour tu flotte ce drapeau. ...

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