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111 Sonnet XCII Ce fut l’hivernage ! Le père laissa fuir Cette huile qui aurait tanné leur beau cuir Et heureux fut-il de les voir en réplique Lui rappelant qu’il eut un droit civique Vis-à-vis de moi, leur mère, aussi d’eux Or serait-il heureux avec ses yeux Qui se baladent et balaient les coins Et les recoins pour découvrir les foins Pour brouteur qu’il soit loin du vœu qu’il fit ; Acte qui ne donne que l’envie de vomir. Mais grâce à ta douce douceur je rayonne Où sa badine me voulait à Bayonne Où tant serais-je flétrie, espéra-t-il Sans penser qu’au bout je t’aurais au fil ! ...

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