In lieu of an abstract, here is a brief excerpt of the content:

ix Remerciements Ce livre est une version revue et augmentée du document de synthèse rédigé pour une soutenance sur travaux en vue du doctorat d’Etat ès lettres. La soutenance a eu lieu à Dakar le 25 juin 1995. Le document comprenait les quatre premiers chapitres du présent volume. Les chapitres 5, 6 et 7 ont été rédigés plus tard. Ni le travail initial, ni l’élargissement ultérieur n’auraient été entrepris sans les encouragements et le soutien de plusieurs personnes. Je les prie de trouver ici l’expression de ma gratitude. J’aimerais mentionner spécialement Souleymane NIANG, recteur de L’Université Cheikh Anta Diop de Dakar, que j’avais eu plaisir à revoir à Cotonou et à accueillir avec d’autres recteurs d’universités membres du Conseil africain et malgache pour l’enseignement supérieur (CAMES), alors que j’ étais ministre de l’ éducation nationale en 1991; Marc A UGE dont l’estime a toujours été pour moi une force et qui m’a offert toutes les facilités qu’il pouvait pendant mes séjours de recherche à Paris, alors qu’il était président de l’Ecole des hautes études en sciences sociales (EHESS); Aloyse-Raymond N’DIAYE, directeur du Fonds international de coopération universitaire (FICU) à l’AUPELF, qui a su faire un miracle – pas moins que ça – pour permettre à l’enfant prodigue fraîchement libéré des griffes de la politique, de se recycler très vite grâce à un séjour de recherche à Dakar; Mamousse et Marie DIAGNE ainsi que leurs enfants, ma famille d’adoption au Sénégal. Je ne puis oublier l’affectueuse, la chahuteuse, la très vivante Renée SENGHOR-N’DIAYE, dont on à peine à imaginer qu’elle nous ait quittes pour toujours. Souleymane Bachir DIAGNE qui parrainait le dossier de soutenance, a su rester d’un bout à l’autre, au-delà de la «formalité» académique, fraternel comme d’habitude. Alassane N’DAW a accepté de présider le jury et Abdoulaye Bara DIOP, Abdoulaye KANE, Oumar DIAGNE, d’en être membres. Qu’ils en soient remerciés. De retour de Dakar, j’ai trouvé un lecteur particulièrement amical en la personne de Dominique MONDOLONI, de la Mission française de coopération à Cotonou, lui-même philosophe, et mon ancien conseiller au ministère de la culture et de la communication. Je lui dois de m’avoir convaincu, avant son départ pour Haïti ou il a été affecté depuis, que ce texte pouvait intéresser des cercles plus larges, et d’avoir proposé à la Mission d’en x subventionner la publication. Michèle NARDI, qui lui a succède au Bénin, a vu sa patience mise à rude épreuve par un auteur d’une lenteur peu compatible avec les exigences administratives. Je tenais à revoir et à compléter le texte initial, mais j’avais sous-estimé les délais nécessaires, Merci à la Mission française. Merci à Michel-Robert GOMEZ, Directeur des Editions du Flamboyant. Rock CAPO-CHICHI, mon ancien secrétaire, devenu expert en toutes sortes de travaux informatiques, a été d’un secours inestimable. Qu’il trouve ici l’expression de ma gratitude. Enfin, voici trente ans que mes longues retraites studieuses, aggravant l’effet de sollicitations diverses, ont fait de moi un mari, puis un père souvent absent. Que mon épouse et les quatre enfants, Hervé, Flore, Sophie (décédée dans son jeune âge), Olivier, sachent combien j’ai toujours apprécié leur compréhension et leur soutien. ...

Share