In lieu of an abstract, here is a brief excerpt of the content:

BIogRAPHIES Marie-Noëlle Aubertin est doctorante au programme de muséologie, médiation et patrimoine à l’Université du Québec à Montréal, sous la direction de Lucie K. Morisset. Elle s’intéresse à la gastronomie québécoise telle que représentée par les aliments qui sont communément appelés«du terroir». Considérant que l’intérêt croissant pour ce type de produits repose sur une construction sémantique, elle tente de mettre en lumière leur possible patrimonialisation. Elle souhaite ainsi mettre en place les assises d’un cadre théorique solide et sérieux pour un domaine – la gastronomie – qui occupe massivement les médias, mais dont les spécialistes (chefs, nutritionnistes, agriculteurs, etc.) ne couvrent généralement qu’un aspect. Lyne Bernier est doctorante à l’Institut de géoarchitecture de l’Université de Bretagne occidentale à Brest, sous la direction du professeur Daniel Le Couédic et la codirection de Luc Noppen, titulaire de la Chaire de recherche du Canada en patrimoine urbain de l’Université du Québec à Montréal (UQAM). Ses recherches doctorales portent sur l’histoire et la signification des propriétés ecclésiastiques montréalaises, sur l’identité, le patrimoine et la forme urbaine de Montréal, et sur le rôle de Mgr Bourget dans la planification urbaine de la métropole du Québec à partir de la deuxième moitié du xixe siècle. Elle est récipiendaire d’une bourse de doctorat en recherche du Fonds de recherche du Québec – Société et culture (FQRSC) et de diverses bourses d’excellence (FARE-UQAM, programme Girardin-Vaillancourt du Mouvement Desjardins). Elle est membre étudiante du Centre interuniversitaire d’études sur les lettres, les arts et les traditions (CELAT) et jeune chercheure associée à la Chaire de recherche du Canada en patrimoine urbain. Jonathan Cha est doctorant à l’Université du Québec à Montréal au programme conjoint avec l’Institut national de la recherche scientifique et en cotutelle avec l’Institut d’urbanisme de Paris de l’Université Paris-Est. Sa 266 La patrimonialisation de l’urbain thèse de doctorat porte sur les formes urbaines et paysagères des squares victoriens montréalais. Il est récipiendaire de bourses du Canada à la maîtrise et au doctorat en plus de diverses autres bourses d’excellence (CRSH, CELAT, UQAM). Il est jeune chercheur à l’Institut du patrimoine et à la Chaire de recherche du Canada en patrimoine urbain de l’Universit é du Québec à Montréal (UQAM) ainsi qu’au Centre interuniversitaire d’études sur les lettres, les arts et les traditions (CELAT). Il est membre agréé de l’Association des architectes paysagistes du Québec (AAPQ) et chargé de cours à la Faculté de l’aménagement de l’Université de Montréal où il enseigne des cours théoriques, des ateliers de design et organise des voyages d’étude à l’étranger. Mathieu Dormaels est actuellement stagiaire postdoctoral à la Chaire de recherche du Canada en patrimoine bâti de l’Université de Montréal. Ses recherches portent sur les liens entre le tourisme et les représentations patrimoniales dans les sites inscrits sur la Liste du patrimoine mondial, ainsi que sur la gestion des sites urbains inscrits, particulièrement en Amérique latine et du nord. Il a été professeur invité de l’école d’architecture de l’Université Veritas de San José (Costa Rica) et il enseigne depuis 2008 comme chargé de cours à l’Université du Québec à Montréal (UQAM). Il a aussi travaillé come consultant en gestion du patrimoine, notamment pour le ministère de la Culture du Costa Rica. Mathieu Dormaels a participé à diverses conférences en Amérique et en Europe et il a publié plusieurs articles sur le patrimoine culturel et sur le patrimoine mondial, et a codirigé l’ouvrage Patrimoine et sacralisation (éditions Multimondes). Il est associé à la Chaire de recherche du Canada en patrimoine urbain (ESG-UQAM) et à l’équipe Culture et communication du Centre Norbert Élias (UMR 8562) en France. Doctorante en aménagement de l’espace et urbanisme au sein de l’UMR ADES (Aménagement, développement, environnement, santé et société) et de l’École doctorale Montaigne – Humanités de l’Université Michel de Montaigne – Bordeaux 3, Aurélie Hervouet a choisi d’axer ses réflexions sur la fabrication de la ville et ses acteurs et sur le logement social. Elle mène sa recherche dans le cadre d’un partenariat acteur/chercheur...

Share