Méthodologie de la théorisation enracinée: Fondements, procédures et usages

Notices Biographiques

Notices biographiques Synda Ben Affana, Ph. D, est professeure au Département de lettres et communication sociale de l’université du Québec à Trois Rivières. Elle est aussi chercheure associée à Comsanté, un centre de recherche sur la communication et la santé. Titulaire d’une maitrise en communication publique et d’un doctorat en communication et santé (université Laval), ses intérêts de recherche convergent vers la communication, Internet et la santé. Elle est spécialisée dans les démarches d’analyse qualitative informatisée et dans la méthodologie de la théorisation enracinée dont elle se sert pour étudier les usages et les effets des médias sociaux. Marie-Josée Berthiaume est professionnelle de recherche à l’université du Québec à Trois-Rivières. Elle est aussi membre de l’ordre des psychoéducateurs et des psychoéducatrices du Québec et adjointe à la direction de la revue Recherches qualitatives . Elle travaille aussi en tant que responsable de l’éditique et de la mise aux normes de divers manuscrits. Elle a étroitement collaboré, dans toutes les étapes du projet, avec les deux directeurs de cet ouvrage, notamment en coordonnant le processus d’évaluation des textes et d’élaboration du manuscrit. Juliet Corbin, spécialiste en sciences infirmières, est titulaire d’un baccalauréat (BSN) de la Arizona State university, d’une maîtrise (MSN) de la San Jose State university et d’un doctorat (DNSc) de la university of California à San Francisco où, sous la direction d’Anselm Strauss avec qui elle a mené des recherches et des publications pendant 15 ans jusqu’à son décès en 1996, elle a poursuivi des études postdoctorales au Département des sciences sociales et comportementales. Leurs domaines de recherche communs touchaient aux maladies chroniques, à l’analyse biographique et à la sociologie du travail. Les travaux que Juliet Corbin a réalisés en collaboration avec Anselm Strauss ainsi que sa participation à ses cours de méthodologie ont fait germer en elle l’idée de produire le manuel Basics of Qualitative Research. En fait, les étudiants avaient manifesté le besoin d’avoir à leur disposition un outil pratique pour les guider dans leur recherche. Traduit en plusieurs langues dont l’arabe, le 280 Méthodologie de la théorisation enracinée farsi, le chinois, le japonais, le coréen, l’espagnol et l’allemand, ce livre en sera bientôt à sa quatrième édition. Professeure de sciences infirmières à la San Jose State university pendant de nombreuses années, elle a aussi dirigé des mémoires de maîtrise et des thèses de doctorat portant sur la théorisation enracinée ou son appellation originale «Grounded Theory». En plus d’avoir été conférencière invitée dans le cadre de nombreux colloques aux États-unis, au Canada, en Europe et en Asie, elle a à son actif, en collaboration avec Anselm Strauss, de nombreuses publications sur les maladies chroniques et la théorisation enracinée sur laquelle elle anime, depuis sa retraite, des ateliers partout dans le monde. Catherine de La Robertie est recteur de l’Académie de Caen, chancelier des universit és, professeur des universités, chercheur au Centre de recherche en économie et management (CREM – uMR CNRS 6211), et présidente de l’AFuDRIS (Association des formations universitaires de défense, de relations internationales et de sécurité); ses recherches portent sur l’intelligence économique, ainsi que sur le management et le marketing interculturels. François Guillemette (Ph. D. en éducation, université du Québec, 2005; Ph. D. en théologie, université Laval, 1993) est professeur au Département des sciences de l’éducation à l’université du Québec à Trois-Rivières et adjoint pédagogique au vice-décanat du Campus Mauricie de la Faculté de médecine de l’université de Montréal. Il est également consultant-chercheur pour l’ACDI, spécifiquement dans l’approche par compétences en enseignement supérieur. Il enseigne la méthodologie de la recherche et donne, avec Jason Luckerhoff, des ateliers en recherche qualitative au Canada et en Europe francophone. François Labelle est professeur de management à l’université du Québec à TroisRivi ères. Il dirige les travaux du Laboratoire de recherche sur le développement durable en contexte PME et il est membre actif de l’Institut de recherche sur les PME (INRPME). Il s’intéresse aux modèles de gestion axés sur le développement durable, sur la responsabilité sociale...