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6. LE STATUT SÉMIOTIQUE DE L’INTENSIF 6.1 L’exigence d’un modèle intégrateur L’enregistrement du phénomène du sacre dans le registre de langue populaire des Québécois pose au sémioticien linguiste une question essentielle. Est-il possible de retrouver dans la multiplicité terminologique des sacres (notre inventaire cumule quelque huit cent quatre-vingt-dix occurrences) un modèle unique d’organisation ? La réponse à cette interrogation postule la reconnaissance préalable de quelques oppositions élémentaires. Le sacre n’est qu’une forme particulière d’intensif qui se rattache au système plus général de l’expression linguistique de l’intensité. Car il n’y a pas que le sacre qui soit signe et moyen d’intensification langagière ; la sémiotique linguistique de l’emphase ne représente qu’un sous-système intégré à la sémiologie générale de l’intensité, à l’instar des sémiotiques non linguistiques qui mettent largement à contribution l’enflure, la surcharge, l’exagération. Les unes se manifestent dans une substance visuelle telle que la caricature, le baroque architectural, la bouffonnerie et la mimique gestuelle, etc. D’autres utilisent la substance auditive, tel le son articulé, dans les passages emphatiques rencontrés dans la sémiotique musicale, par exemple, ou le son inarticulé qu’on retrouve dans les cris euphoriques ou dysphoriques (cris de joie ou de douleur, cris d’amour ou de haine, cris de surprise ou de découragement, etc.), tels qu’ils existent dans la sémiotique théâtrale, etc. 118 L’EMPIRE DU SACRE La conduite d’une étude formelle de l’emphase est indépendante des substances particulières qui la manifestent’. La forme du contenu est, en effet, une constante reconnaissable dans toutes les substances de contenu qui lui servent de variables. Le rôle de ces dernières consiste à convertir, au niveau discursif, en la révélant dans des structures de surface, la forme de l’intensif invariant établie en structure profonde. Défini comme une sorte de dénominateur commun à tous les types d’intensité, l’intensif formel ne peut avoir qu’un caractère de grande généralité. Nous proposons de le définir par les traits sémiques suivants : /intensivité/ + (/euphorie/vs/dysphorie/). Réduit à ces marques essentielles, l’intensif peut servir de base à la description typologique des sémiotiques qui l’utilisent. 6.2 Sémantique et syntaxe fondamentales de l’intensif Ces distinctions ainsi établies nous permettent de proposer l’insertion de cette définition formelle de l’intensif dans un modèle d’organisation fondamentale. Sur ce modèle immanent vont être réparties les différentes positions de l’intensif de manière à les situer les unes par rapport aux autres. Mais avant de projeter des contenus sur le diagramme sémiotique, il convient de le présenter d’abord dans la rigueur formelle de ses seules relations logiques. 1. Surmontant la gangue des phénomènes immédiats, la démarche sémiotique procède par des analyses formelles au dégagement des principes d’organisation de la manifestation. Une simple observation empirique n’aboutirait qu’à un amalgame de faits disparates. [18.227.114.125] Project MUSE (2024-04-19 03:21 GMT) LE STATUT SÉMIOTIQUE DE L’INTENSIF 119 2. Voir Claude ZILBERBERG, Essai sur les modalités tensives, Amsterdam, John Benjamins B.V., Pragmatics & Beyond, 1981, pp. 1-30. lintensivitel Inon-detensivitel Itensivitel 51><5, Ipouvoir ne pas manifester intensementl Ine pas pouvoir 52 51 Ine pas pouvoir ne pas manifester manifester intensementl intensementl Les operations de type syntagmatique commencent des Ie moment au I'on trace, sur Ie diagramme, des parcours syntaxiques afin de decrire soit un mouvement croissant d'intensification, soit Ie mouvement inverse de decroissance de I'intensite. Abstraitement decrit, ce double parcours s'accomplit de la maniere suivante: Ie point de depart est fixe au paste 51 Ine pas pouvoir manifester intensement/; de la, par une operation de negation de la contradictoire, il ya passage au paste 51 Ipouvoir manifester intensement /; ensuite par I'intensification de I'intensite, il y a accession au paste 52 Parcours de l'intensite croissante Ipouvoir manifester intensementl 51 Ine pas pouvoir 1~_Ine pas pouvoir ne pas manifester 52 51 manifester intensementl intensementl 6.3 La syntaxe narrative de surface : son aspectualisation par l’intensité L’articulation de la catégorie sémique de l’intensité par une sémantique fondamentale, puis l’établissement de parcours d’intensité, croissante ou décroissante, dans la syntaxe fondamentale représentent l’étape logique de sa description sémiotique. Le progrès de notre analyse conduit à l’étape suivante, dite anthropomorphique, parce qu’elle est caractérisée par l’avènement des actants qui inaugurent la formation des énoncés narratifs. Théoriquement, il est possible de prévoir quels sont les types d’énoncés qui seront aspectualisés par le sème / intensivité /, puisqu’ils procèdent de l’opposition de deux prédicats générateurs des énoncés fondamentaux : être vs faire, puis de la 120 L’EMPIRE DU SACRE [18.227.114.125] Project MUSE (2024-04-19 03:21 GMT) LE STATUT SÉMIOTIQUE DE L’INTENSIF 121 position des combinaisons possibles de ces deux prédicats à savoir : faire être, être du faire, faire faire, et être de l’être. Une syntaxe immanente peut dès lors être envisagée qui établit quatre classes d’énoncés à partir des quatre combinaisons des prédicats préalablement reconnues. Ainsi une sémiotique de la performance prend forme par le regroupement des énoncés qui explicitent le faire être. Une sémiotique de la compétence repose sur les énoncés modaux qui construisent l’être du faire. Une sémiotique de la manipulation s’organise à l’aide des énoncés construits avec le prédicat factitif faire faire. Enfin une sémiotique de la sanction peut être décrite au moyen des énoncés descriptifs de l’être de l’être des actantssujets. Voici un synopsis de cette répartition constitutive d’une syntaxe narrative. En prenant tactiquement comme point de repère l’épreuve principale d’un récit hypothétique caractérisée par la liquidation du manque des objets de valeur, on obtient, de fait, une première classe d’énoncés : ceux qui décrivent la performance au moyen du complexe fonctionnel faire être, v.g. devenir riche. La deuxième classe est logiquement préalable à la première. La performance présuppose une compétence, c’est-à-dire une aptitude correspondante : ce sont les modalités soit innées, soit acquises au cours de l’épreuve qualifiante. Elles déterminent l’être du faire, v.g. vouloir devenir (riche), pouvoir devenir (riche), etc. Or, les opérations précédentes, celle de la performance et celle de la compétence, requièrent l’intervention d’un destinateur qui déclenche le mouvement de transformation. De là la distinction d’une troisième classe d’énoncés qui utilise le faire faire de la manipulation. Enfin, la syntaxe narrative prévoit une épreuve glorifiante qui règle le sort des actants en présence : une sémiotique de la sanction est révélatrice des nouvelles situations des sujets performants et de l’évaluation des opérations accomplies, c’est-à-dire l’être de l’être. Dans cette typologie des énoncés narratifs, s’inscrivent prioritairement des énoncés d’état qui décrivent, à l’aide du seul prédicat statique « être », le rapport fondamental de conjonction et de disjonction d’un sujet avec un objet de valeur. Syntaxe narrative le faire être l’être du faire le faire faire l’être de l’être sémiotique de la performance sémiotique de la compétence sémiotique de la manipulation sémiotique de la sanction 122 L’EMPIRE DU SACRE Nous nous proposons maintenant de montrer que ces classes d’énoncés narratifs sont aspectualisables à l’aide d’opérateurs sémiotiques d’intensité. Cependant, on ne saurait procéder à cette tâche sans fournir, au préalable, à ce cadre d’énoncés, des contenus sémantiques provenant de leur thématisation. Car posées comme des invariants formels, les classes d’énoncés narratifs ne peuvent proliférer de l’intérieur qu’à la faveur d’investissements thématiques variables. Au lieu de nous astreindre à suivre, d’une classe à l’autre, le développement d’un thème unique comme nous avons eu l’occasion de le faire pour l’analyse d’un conte merveilleux3 , nous avons préféré, à l’image de la dispersion en tous sens des thèmes touchés par les sacres au niveau discursif, celle de la dissémination des valeurs thématiques qui, au niveau des structures profondes, seront surdéterminées par l’aspect d’intensivité v.g. la vie, la vérité, la beauté, la lumière, l’amour, le salut, la force, la domination, la richesse, etc. On remarquera qu’à ce stade de la description il n’est fait usage que d’opérateurs sémiotiques d’intensification à valeur dénotative. Cette exigence théorique entraîne l’exclusion du niveau sémionarratif de tout marqueur tensif chargé de connotation religieuse, scatologique, sexuelle ou autre. On peut tout simplement représenter, au moyen du modèle suivant, l’articulation des tensifs utilisables en structure profonde. 3. Voir nos deux études sur le conte type 563 : « Sémiotique générative de Pierre la Fève, version québécoise du conte type 563 » dans La Bête à sept têtes et autres contes de la Mauricie, Montréal, Quinze, 1980, pp. 223-276 et « Le statut sémiotique du motif en ethnolittérature », application à Pierre la Fève, dans Pierre la Fève et autres contes de la Mauricie, Montréal, Quinze, 1982, pp. 253-367. ÉTAT Jonction (être) conjonction disjonction S ∩ O S ∪O possession manque [18.227.114.125] Project MUSE (2024-04-19 03:21 GMT) LE STATUT SÉMIOTIQUE DE L’INTENSIF 123 Appliquée à des énoncés de jonction rattachés au thème de la richesse l’articulation de l’aspect tensif produirait les formes suivantes : 4. À l’encontre du dictionnaire de Sémiotique, qui situe la thématique uniquement dans la sémantique discursive, nous sommes plutôt d’avis qu’il faille aménager une instance narrative superficielle pour y loger la thématisation abstraite. Cette position, soutenue par nous dans nos analyses antérieures, a été avancée par J. Courtés dans sa thèse de doctorat d’état présentée, en 1983 à la Sorbonne, sous le titre : Le motif en ethnolittérature : essai d’anthropologie sémiotique. À une sémantique discursive qui distingue une thématisation et une figurativisation superficielles correspondrait, dans la sémantique narrative, une thématisation et une figurativisation profondes. Cette nouvelle hiérarchisation des paliers de distribution du contenu dans le parcours génératif nous a entraîné à considérer de la même manière—c’est un autre choix personnel — une aspectualisation tantôt profonde, tantôt superficielle, par l’intensité. Il appartiendra aux recherches théoriques ultérieures de justifier l’emplacement exact, dans le parcours génératif, des formes hiérarchiques de l’aspectualisation. Dans l’hypothèse où ces formes aspectuelles seraient toutes reconnues comme justiciables du seul niveau discursif, elles n’entraîneraient pas moins une différenciation hiérarchique à l’intérieur de ce niveau, ce que ne prévoit pas le diagramme théorique actuel du parcours génératif. 124 L’EMPIRE DU SACRE Modalité du vouloir Vouloir (S1) [F (S2) ⇒ ( O ∩ S3 ∪ O )] aspects de la modalité : /intensivité/ + /superlativité/ Lecture (S1 O = vie) : S1 veut très fortement faire mourir S3 Modalité du pouvoir Pouvoir (S1) [F (S2) ⇒ ( O ∪ S3 ∩ O )] aspects de la modalité : /intensivité/ + /superlativité/ Lecture (S1 O = amour) : S1 peut très facilement aimer S3 Modalité du devoir Devoir (S1) [F (S2) ⇒ (O ∪ S3 ∩ O )] aspects de la modalité : /intensivité/ + /superlativité/ Lecture (S1 O = richesse) • S1 doit absolument donner la richesse à S3 Les énoncés narratifs de manipulation peuvent à leur tour être aspectualisés par le sème /intensivité/. Nous nous limitons aux cas de manipulation par intervention et par empêchement. Manipulation par intervention F(S1) → F (S2) ⇒ (O ∪ S3 ∩ O) aspects : /intensivité/ + /superlativité/ Lecture (Si O = lumière) : S1 fait absolument tout son possible pour que S2 éclaire S3 Manipulation par empêchement F(S1) → nonF (S2) ⇒ (O ∪ S3 ∩ O) aspects : /intensivité/ + /superlativité/ Lecture (Si O = lumière) : S1 fait absolument tout pour que S2 ne fasse pas que S3 soit éclairé [18.227.114.125] Project MUSE (2024-04-19 03:21 GMT) LE STATUT SÉMIOTIQUE DE L’INTENSIF 125 Un seul exemple suffira à montrer l’aspectualisation par l’intensif d’un énoncé narratif de performances. F(S1) ⇒ (O ∪ S2 ∩ O) aspects : lintensivitél + lsuperlativitél Lecture (S1 O = santé) : S1 guérit très vite et parfaitement S2 Les énoncés narratifs de la sanction sont également aspectualisables par le sème classématique /intensivité/. Il suffira de distinguer les énoncés véridictoires et les énoncés épistémiques. (S1 = actant sujet) Énoncés véridictoires /Vérité/. Il est absolument vrai de dire que S1 est un héros. /Fausseté/. Il est tout à fait faux de soutenir que S1 est un traître. /Mensonge/. S1 fait une affirmation très mensongère. /Secret/. S1 est un lieu très secret. Énoncés épistémiques /Certitude/. S1 est très certain de réussir. /Incertitude/. S1 est très incertain de pouvoir partir. /Doute/. Il est fort douteux que S1 devienne riche. 5. L’énoncé narratif performantiel qui a été retenu est celui de l’attribution. La théorie sémiotique prévoit l’existence de trois autres espèces de performance. En distinguant, en effet, les différentes opérations par lesquelles un transformateur fait entrer un sujet donné en relation de conjonction ou en relation de disjonction avec son objet de désir, on obtient quatre voies de formation d’énoncés conjonctifs ou disjonctifs suivant que le méta-sujet opérateur réalise la conjonction pour son bénéfice (appropriation) ou pour celui d’un autre (attribution) ou qu’il accomplisse la disjonction en sacrifiant son propre intérêt (renonciation) ou en sacrifiant celui d’autrui (dépossession). Le synopsis ci-joint illustre ces corrélations canoniques. TRANSFORMATION D’ÉTAT Opération (faire être) opération de conjonction opération de disjonction F(S1) → S2 ∩ O F(S1) → S1 ∩ O F(S1) → S2 ∪ O F(S1) → S1 ∪ O attribution appropriation dépossession renonciation 126 L’EMPIRE DU SACRE 6.4 Les structures discursives Les composantes sémantique et syntaxique du sacre Parti de la constitution du modèle sémiotique immanent de l’intensif qui sert de substrat à la manifestation du sacre, le parcours génératif, dans sa progression vers le niveau de surface des structures sémionarratives, nous a conduit à la découverte de formes narratives qui convertissent le modèle immanent en énoncés canoniques indexés du sème / intensivité / partout reconnaissable à son degré de généralité. Précisément, cette première conversion des structures profondes dans des formes sémionarratives superficielles maintenait l’investissement sémantique à un niveau encore élevé d’abstraction. Car la saisie de l’aspect intensif par des formes communes à toutes les manifestations d’intensité n’a pu être obtenue que par la mise en veilleuse des variantes figuratives, qui sont un principe de dispersion du fait de leur adaptation aux micro-univers culturels particuliers. La seule observation de la disparité des lexèmes figuratifs qui, au niveau discursif, prennent en charge les formes abstraites de l’intensif de l’instance narrative, nous amène rapidement à la conclusion que le niveau discursif auquel nous sommes parvenu constitue un champ d’exercice de la liberté des locuteurs. La production d’énoncés tels que (1) Il est fort comme Samson. (2) Il est fort comme Goliath. (3) Il est fort comme Tarzan. (4) Il est fort comme un Turc. (5) Il est fort comme Victor Delamarre. (6) Il est fort comme un cheval. (7) Il est vachement fort, ce taureau, (disait Paul en parlant de Pierre). (8) Il est fort en calvaire (en torrieu, en bibite, etc.), témoigne de ces choix non contraignants dans la discursivisation du sème commun /intensivité/. Pourtant le choix de l’une ou l’autre variante figurative dans la manifestation discursive de l’intensité n’est pas neutre. L’opération de figurativisation par la conversion des formes narratives abstraites dans des formes discursives concrètes entraîne un nouvel apport de sens qui doit être également soumis à l’analyse. En tant qu’unités lexicales figuratives du niveau discursif, les sacres produisent des effets de sens qui contribuent à dessiner l’individualité psychologique et culturelle des sacreurs. [18.227.114.125] Project MUSE (2024-04-19 03:21 GMT) LE STATUT SÉMIOTIQUE DE L’INTENSIF 127 6.5 Le plan de l’analyse du niveau discursif du sacre Une description idéale du parcours génératif exigerait que l’on relie sans retard les formes discursives de la surface du contenu aux formes narratives profondes qui leur correspondent. En raccordant immédiatement les structures de surface du niveau discursif à leurs structures narratives sous-jacentes, on perçoit mieux la relation de détermination qui réunit l’instance de la narrativité et celle de la discursivité : à titre de présupposées, les formes intensives inscrites au niveau profond de la narrativité ont raison de constantes par rapport aux variables qui les relaient au niveau discursif. Ce cheminement en ligne directe de l’analyse sémiotique ignore la rencontre d’obstacles insidieux. Un minimum de précautions méthodologiques nous oblige à procéder à une double opération qui a pour but de libérer la forme du sacre par l’élimination préalable de certains concurrents sémantiques. Nous prendrons soin, en conséquence, de situer d’abord le sacre par rapport à la typologie des discours marqués par l’intensité. Cette confrontation donnera l’occasion attendue de démêler certaines confusions courantes. Une fois achevé ce déblaiement général, nous devrons ensuite déterminer la place exacte occupée par l’action intensive de sacrer dans la taxinomie de l’intensif jurer. Cette opération écartera les derniers concurrents lexématiques du verbe sacrer et nous pourrons achever librement sa description sémantique proprement dite. L’ensemble des opérations d’analyse qui précèdent vise à dégager la composante sémantique du sacre comme opérateur d’intensification des énoncés discursifs. Suivra une autre étape qui, prenant appui sur la paradigmatique établie lors de l’étape précédente, organisera, avec l’emploi du sacre, un double parcours d’intensité : le mouvement syntagmatique de l’un est ascendant, celui de l’autre, descendant. Tous deux reproduisent à la surface discursive les trajectoires de la syntaxe narrative sous-jacente. La synopsis de l’analyse discursive du sacre se dessine alors comme suit : La structure sémantique discursive du sacre 1 Une typologie du discours qui exclut le sacre. 2 La taxinomie du verbe jurer qui inclut le sacre. 3 La thématique du sacré au Québec. 4 La définition formelle du sacre ; ses corollaires. 5 L’inventaire des sacres est-il structurable ? 128 L’EMPIRE DU SACRE La structure syntaxique discursive du sacre 1 Un mouvement intensif croissant. 2 Un mouvement détensif décroissant. ...

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