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CHAPITRE VII Quelques éléments de bibliographie Pour le lecteur désireux d’approfondir certains aspects de la méthodologie épidémiologique qui ont été très rapidement présentés ici, on peut recommander deux ouvrages en langue française : • Méthodes en épidémiologie, par C. Rumeau-Rouquette, G. Breart et R. Padieu, Flammarion Médecine Sciences, Paris. • Épidémiologie : principes, techniques, applications, par M. Jenicek et R. Cleroux, Edisem, St. Hyacinthe, Québec (Canada) et Maloine, Paris. On pourra aussi consulter l’ouvrage suivant, populaire en Suisse : • Épidémiologie, par U. Ackermann-Liebside, F. Gutzwiller, V. Keil, M. Kunz. Version française : Medication Foundation, 1986. Pour ceux qui lisent l’anglais sans difficulté, le livre certainement le plus répandu et le plus accessible est : • Foundations of Épidemiology, par A.M. et D.E. Lilienfeld, Oxford University Press, New York, Oxford. Quand il s’agit de retrouver rapidement une définition ou le principe d’un raisonnement épidémiologique, on aura tout intérêt à consulter le : • Dictionnaire d’Épidémiologie, par A. Leclerc, L. Papoz, G. Bréart, et J. Lellouch, Éditions Frison-Roche, Paris. On a notamment pris soin, dans le présent ouvrage, de veiller à adopter une terminologie cohérente avec celle de ce dictionnaire ; mais ce dernier couvre un champ plus large et apporte de nombreuses informations complémentaires. Le présent ouvrage n’aborde pratiquement pas les méthodes statistiques. Celles-ci constituent cependant la base même de la plupart des raisonnements épidémiologiques, et on les utilise constamment dans la pratique. Il existe de nombreux excellents livres de statistique pour débutants ; parmi ceux qui s’adressent spécifiquement à un public médical, le meilleur reste incontestablement : • Méthodes statistiques à l’usage des médecins et des biologistes, par D. Schwartz, Flammarion Médecine Sciences, Paris. QUELQUES ÉLÉMENTS DE BIBLIOGRAPHIE 189 D’abord encore plus facile, car portant sur un programme plus réduit, Il faut recommander : • Statistique médicale et biologique, par D. Schwartz, P. Lazar et L. Papoz, Éditions Flammarion Médecine Sciences, Collection PCEM. Les principes de l’estimation et des tests statistiques, qu’on a très superficiellement abordés Ici, y sont très clairement exposés. On trouve également des éléments de statistique dans les ouvrages de méthodologie épidémiologique cités plus haut ; notamment le livre de C. Rumeau-Rouquette et al. contient une importante partie consacrée aux techniques de sondage. Également à l’interface de la statistique et de l’épidémiologie, on trouvera un ouvrage extrêmement clair, précisant de façon très simple les techniques de calcul les plus usuelles en épidémiologie : • Mesures statistiques en épidémiologie, par P.M. Bernard et C. Lapointe, Presses de l’Université du Québec. Signalons aussi deux excellents numéros spéciaux de la Revue du Praticien : • Statistique Médicale à l’usage du praticien, Tome 1 : 1983, 33, 935-1010, Tome 2 : 1983, 33, 1035-1 118, consacrés à la méthodologie statistique et à ses applications dans le domaine de la santé, très clairs et pédagogiques, qui s’adressent à un public de non-initiés. Pour les étudiants du second cycle des études médicales, il faut considérer que le présent ouvrage couvre la totalité du programme de Méthodologie épidémiologique générale. On trouvera des compléments dans les numéros spéciaux de la Revue du Praticien cités plus haut pour ce qui concerne la méthodologie des essais thérapeutiques. Enfin, si certains lecteurs sont suffisamment passionnés pour vouloir suivre l’actualité épidémiologique de près, ils peuvent consulter la seule revue scientifique française consacrée à ce domaine : • Revue d’Épidémiologie et de Santé Publique, Masson éditeur, Paris. Les travaux épidémiologiques suisses sont souvent publiés dans : • Sozial-und Praeventivmedizin/Médecine Sociale et Préventive. Il faut également signaler que, si on les cherche, on trouve toutes sortes d’ouvrages (livres, revues générales, etc.) qui traitent des faits, c’est-à-dire non pas de la méthodologie épidémiologique, mais des connaissances acquises par l’épidémiologie dans tel ou tel domaine particulier : pathologie (cancer, maladies cardio-vasculaires, etc.), facteurs de risque (tabac, [3.12.161.77] Project MUSE (2024-04-26 17:34 GMT) 190 L’ÉPIDÉMIOLOGIE SANS PEINE alcool, cancérigènes professionnels...), etc. Malheureusement, ils sont presque toujours en langue anglaise ! Enfin, last but not...

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