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INTERROGATION EN GUISE DE CONCLUSION La troisième partie vise à faire ressortir le fait qu’il est aussi important de comprendre que de prédire. Les diverses approches de l’évaluation classique ont échouées sur ce point. Nous précisons à nouveau que pour atteindre l’aptitude à la compréhension dans une méthodologie d’évaluation il est nécessaire d’assumer d’abord un minimum de principes permettant d’atteindre cette compréhension. Pour atteindre la compréhension, le système est fondé sur des facteurs que nous avons tenté de dégager dans le cadre de cette partie. Nous soulignons encore une fois que la compréhension est essentiellement rattachée à la dimension humaine et que le processus d’évaluation sera valide si et seulement si nous acceptons globalement que l’intellect humain soit imbriqué inextricablement dans tout le processus de l’évaluation : l’information, la codification des données et également l’interprétation. En somme, si on admet que l’évaluation est placée devant ce problème, cette troisième partie devrait permettre de solutionner un certain nombre de questions. Nous pouvons cependant exprimer celles-ci. • Est-ce que l’information que nous fournissons est susceptible de répondre aux deux fonctions du cerveau ? • Est-ce que les situations d’apprentissage sont organisées de façon à ce que l’apprenant puisse voir évoluer le phénomène ? • Est-ce que l’on accepte que l’esprit humain soit l’instrument de base le plus fondamental en évaluation (subjectivité ne veut pas dire mauvais) ? • Est-ce que les instruments de mesure inspirent confiance ? • Est-ce que les objectifs sont opérationnalisés sous la forme d’un processus ? • Est-ce que nous savons interpréter réciproquement le rendement et la performance ? ...

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