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XXVI PELLETIER, alors agent de ce ministère, nous conseilla dans cette délicate transaction. B. Les institutions, centres et organismes C’est l’UNIVERSITÉ DE SUDBURY qui allait héberger notre projet à compter de 1993 : le recteur LAURENT LAROUCHE† , S.J., mit gracieusement à notre disposition un bureau, progressivement converti en dépôt d’archives, avec, durant les quatre mois d’été, une puis deux salles de travail pour nos assistants ; en outre, il a gratuitement placé l’administration comptable du projet et le service de la paie de nos employés sous la responsabilité de Mmes SHELLEY MACHUM, trésorière, et GINETTE TROTTIER, son adjointe ; ses successeurs, JACQUES MONET, S.J., et ROY BONIN, ont tout aussi généreusement reconduit cette entente qui a pris fin en août 2005. Durant cette dizaine d’années, les chercheurs du DÉOF ont soumis à rude épreuve les bibliothécaires de l’UNIVERSITÉ LAURENTIENNE, notamment son service de prêts entre biblioth èques, qui leur procura tous les ouvrages que recensait notre équipe interne de rédacteurs. Que M. LIONEL BONIN et Mme DIANE TESSIER trouvent ici notre haute considération pour leur disponibilité et leur patience. Des bibliothèques, des centres de recherche et d’archives régionaux, propriétaires des documents ou d’écrits utiles au DÉOF ont droit à notre reconnaissance pour l’accueil qu’ils ont réservé à nos assistants : l’UNIVERSITÉ DE SUDBURY, qui, en plus des services de sa bibliothèque, nous a donné accès à ses collections : les Archives de l’Université de Sudbury (et du Collège du SacréC œur), celles des jésuites de Sudbury (maintenant à la Villa Loyola), et les archives de la Société historique du Nouvel-Ontario (SHNO, déposées depuis au Centre franco-ontarien de folklore) ; le CENTRE FRANCO-ONTARIEN DE FOLKLORE (CFOF) de Sudbury, qui possède la collection la plus compl ète d’histoires de paroisses en Ontario français en plus de sa bibliothèque spécialisée ; le CENTRE DE RECHERCHE EN CIVILISATION CANADIENNEFRAN ÇAISE (CRCCF) et le service des Archives de l’UNIVERSITÉ D’OTTAWA, qui ont des fonds riches sur les Franco-Ontariens et qui, au moment de l’édition, nous ont guidé dans la sélection iconographique et procuré de rares illustrations ; et les bibliothèques et archives de plusieurs communaut és religieuses situées à Ottawa : celles des oblats conservées aux Archives Deschâtelets de l’UNIVERSITÉ SAINT-PAUL ; celles des dominicains au COLLÈGE UNIVERSITAIRE DOMINICAIN ; et le Centre d’archives de la maison mère des SŒURS DE LA CHARITÉ D’OTTAWA (autrefois les sœurs Grises de la croix d’Ottawa). À ces collections régionales, il convient d’ajouter la BIBLIOTHÈQUE NATIONALE DU CANADA qui loge, à Ottawa, les plus abondantes collections d’ouvrages du pays et auxquelles donne accès son catalogue nationalAmicus. Cette ressource fut régulièrement l’ultime recours d’écrits autrement introuvables. L’équipe du DICTIONNAIRE DES ŒUVRES LITTÉRAIRES DU QUÉBEC (DOLQ, Université Laval, Québec), dont le travail pionnier a servi de référence et d’inspiration à notre projet, a droit à des remerciements particuliers, notamment MM. AURÉLIEN BOIVIN, MAURICE LEMIRE et KENNETH LANDRY. Ils nous ont généreusement ouvert leurs archives, ont accueilli nos documentalistes et ont conseillé les directeurs du projet à toutes les étapes de son évolution, tantôt par des rencontres et des entretiens, tantôt par l’échange de documents, de listes ou de commentaires dont ces chercheurs ont bien voulu nous faire part. C. L’équipe du DÉOF Comité de rédaction Parmi les membres de la première heure, nous voulons rappeler la mémoire de FERNAND DORAIS† , S.J., littéraire, Université Laurentienne, qui eut l’idée du projet et en assuma la codirection de 1982 à 1984. Cette première cellule, qui œuvra à Sudbury de 1982 à 1987, comprenait aussi les collègues suivants : BENOÎT CAZABON, linguiste, GAÉTAN GERVAIS, historien, ANDRÉ GIROUARD† , S.J., littéraire, YVES LEFIER† , littéraire, et ROBERT TOUPIN† , S.J., historien, de l’Université Laurentienne ; ainsi que RENÉ CHAMPAGNE, S.J., philosophe, et JEAN-PIERRE PICHETTE, ethnologue, de l’Université de Sudbury. C’est sur la base des discussions qui animèrent les rencontres tantôt hebdomadaires, tantôt quotidiennes, de ce groupe Remerciements Dictionnaire des écrits XXVII que prirent forme les grandes orientations de notre DÉOF. Nous ne pouvons passer sous silence l’enthousiasme...

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