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CHAPITRE 13 Nudité et foi chrétienne AVERTISSEMENT R. Bellemare et R. Robidoux Nous devons au lecteur quelques explications concernant ce dernier chapitre. Il est, à l'évidence, le moins accompli de tout l'ouvrage. La disquette du texte indique que l'auteur a repris ces pages une dizaine de jours avant son décès. Or c'est justement une période où des tâches matérielles l'accaparaient. Pour qui a connu cet homme consciencieux, il ne fait aucun doute que, en temps et lieu, il aurait soumis le chapitre à une ample révision. Voici, à notre avis, les corrections, mises au point, compléments qu'il aurait accepté d'introduire dans son texte. En disant cela, nous songeons, bien sûr, à sa capacité de se critiquer, mais encore à sa règle inviolable de solliciter et d'accueillir les observations de ses collègues. Il nous mêlait à ses travaux de façon régulière, et cela nous permet de proposer sans trop d'hésitation les remarques suivantes. Nous les ordonnerons autour du titre général de l'œuvre, en lui comparant et l'intitulé et le contenu et la démarche du chapitre, dans un souci de logique suivie. A. Guindon avait en vue « une éthique du vêtir et du dénuder ». Les douze premiers chapitres, avec la documentation et les réflexions qu'ils assemblent, répondent à cette intention. Ils veulent apprendre à discerner des pratiques susceptibles de favoriser une humanisation vraie de la vie individuelle et des rapports intersubjectifs. Mais, avec le chapitre 13, seproduit un net changement de registre. La critique d'une certaine « apologétique chrétienne antinudiste » amène l'auteur à un dépassement de la morale. En voulant montrer que la foi chrétienne ne comporte pas de condamnation péremptoire de la nudité, il expose des signifiés de nudité qu 'on nouspermettra d'appeler métamoraux.En procédant à unerédaction CHAPITRE 13 Nudite et foi chretienne AVERTISSEMENT R. Bellemare et R. Robidoux Nous devons au lecteur quelques explications concernant ce dernier chapitre. Jl est, al'evidence, le moins accompli de tout l'ouvrage. La disquette du texte indique que l'auteur a repris ces pages une dizaine de jours avant son dices. Or c'est justement une periode ou des taches materielles l'accaparaient. Pour qui a connu cet homme consciencieux, il ne fait aucun doute que, en temps et lieu, il aurait soumis le chapitre aune ample revision. Void, anotre avis, les corrections, mises au point, complements qu'it aurait accepte d'introduire dans son texte. En disant cela, nous songeons, bien sur, asa capacite de se critiquer, mais encore asa regle inviolable de sollidter et d'accueillir les observations de ses collegues. Jl nous melait ases travaux de faron reguliere, et cela nous permet de proposer sans trop d'hesitation les remarques suivantes. Nous les ordonnerons autour du titre general de l'lEuvre, en lui comparant et l'intituLe et le contenu et la demarche du chapitre, dans un soud de logique suivie. A. Guindon avait en vue «une ithique du vetir et du denuder ». Les douze premiers chapitres, avec la documentation et les reflexions qu'its assemblent, repondent acette intention. Ils veulent apprendre adiscerner des pratiques susceptibles de favoriser une humanisation vraie de la vie individuelle et des rapports intersubjectifs. Mais, avec le chapitre 13, se produit un net changement de registre. La critique d'une certaine «apologetique chretienne antinudiste» amene l'auteur 11 un depassement de la morale. En voulant montrer que la foi chretienne ne comporte pas de condamnation peremptoire de la nuditi, it expose des signifies de nudire qu'on nous permettra d'appeler metamoraux. En procedant aune redaction CHAPITRE 13 Nudite et foi chretienne AVERTISSEMENT R. Bellemare et R. Robidoux Nous devons au lecteur quelques explications concernant ce dernier chapitre. Jl est, al'evidence, le moins accompli de tout l'ouvrage. La disquette du texte indique que l'auteur a repris ces pages une dizaine de jours avant son dices. Or c'est justement une periode ou des taches materielles l'accaparaient. Pour qui a connu cet homme consciencieux, il ne fait aucun doute que, en temps et lieu, il aurait soumis le chapitre aune ample revision. Void, anotre avis, les corrections, mises au point, complements qu'it aurait accepte d'introduire dans son texte. En disant cela, nous songeons, bien sur, asa capacite de se critiquer, mais encore asa regle inviolable de sollidter et d'accueillir les observations...

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