In lieu of an abstract, here is a brief excerpt of the content:

300 Les Franco-Ontariens recherche sur les communautés francophones hors Québec. Actes du premier colloque national des chercheurs, Ottawa; (19853), Les services francophones de radio et de télévision hors Québec, CEGIR, octobre, Ottawa; (19855), Actes du colloque national sur l'enseignement postsecondaire en languefrançaise à l'extérieur du Québec, mai, Ottawa, etc., l'étude de Y. Allaite et J.M. Toulouse (1973, Situation socio-économique et satisfaction des chefs de ménage franco-ontariens, Ottawa, ACFO), celle de G. Bordeleau et al. (1980, Les Écoles secondaires de langue française en Ontario : dix ans après, Toronto, ministère de l'Education et ministère des Collèges et Universités) ou encore celle de S. Churchill (1976,« National Linguistic Minorities : The Franco-Ontarian Educational Renaissance », Prospects, Unesco, Vol. VI, p. 3) et S. Churchill et al. (1978, Costs : French Language Instructional Units, Toronto, The Ontario Ministry of Education) sur le coût des unités de langue française, les recherches sociolinguistiques de l'équipe de la section franco-ontarienne de l'Institut des études en éducation, auprès des élèves inscrits dans les écoles de langue française, les rapports du Conseil de planification sociale d'Ottawa-Carleton sur lesprofessionnels francophones dans les services de santé et les services sociaux en Ontario (1982, Rapport, 1985, Rapport), l'étude sur le monde du travail des Franco-Ontariens publi ée par l'ACFO (1986, Les francophones tels qu'ils sont. Regards sur le monde du travail franco-ontarien, deuxième édition, Ottawa, ACFO), les recherches de S. Churchill, N. Frenette et S. Quazi (1985, Éducation et besoins des FrancoOntariens : le diagnostic d'un système d'éducation, Toronto, Conseil de l'éducation franco-ontarienne) et de R. Mougeon (1977), Compte rendu périodique des recherches sociolinguistiques de la section franco-ontarienne (OISE), Toronto, Ontario Institute for Studies in Education et de R. Mougeon et M. Canale (1980), Apprentissage et enseignement du français dans les écoles de langue française de l'Ontario : français, langue première ou langue seconde?, Toronto, Ontario Institute for Studies in Education, Section franco-ontarienne sur la question de l'enseignement primaire et secondaire et les besoins des Franco-Ontariens, le rapport de F. Faucher sur les droits constitutionnels des minoritésde langue officielle du Canada (1985, Constitutional Language Rights of Officiai Language Minorities in Canada, Ottawa, Canadian Law Information Council). 32 Voir note 31 FFHQ (19856). 33 R. Choquette (1980), L'Ontario français, historique, Montréal, Éditions Études vivantes; (1984) ibid.; (1987) ibid. 34 G. Vallières (1980), L'Ontario français par les documents, Montréal, Éditions Études vivantes. 35 G. Vallières et J. Grimard (1981), Explorations et Enracinements français en Ontario, 1610-1978, Toronto, ministère de l'Éducation, Guide de ressources à l'usage des enseignants; J. Grimard et G. Vallières (1986), Travailleurs et gens d'affaires canadiens-français en Ontario, Ottawa, Éditions Études vivantes. La collectivité franco-ontarienne 301 36 C. Gaffield (1987), Language, Schooling and Culîural Conflict, McGill-Queen's University Press. 37 J. Lapointe, R. Poulin et J.Y. Thériault (1987), La minorité francophone de Welland et ses rapports avec les institutions, rapport présenté au Bureau ducommissaire aux langues officielles, Université d'Ottawa. 38 Sauf pour quelques heures de nouvelles régionales par semaine au réseau de RadioCanada , la programmation régionale est à peu près inexistante. L'étude sur lesservices francophones de radio et de télévision hors Québec (voir note 31 : FFHQ, 19853) établit que le temps de programmation locale en français est d'environ 6 h 15 min par semaine à la télévision et de 40 heures par semaine pour la radio (CEGIR 19853, p. 2-12). L'étape logique suivantle plan de rayonnementaccéléré de Radio-Canada devrait être la production d'émissions locales. Dans certaines régions , on retrouve quelques expériences sporadiques en radio et télévision: pour la radio, mentionnons le canal communautaire du collège de Ryerson, l'émission« Québec Jazz » à l'antenne de CKO et les projets de radios communautaires dans les régions de Hearst et Pénétang-Barrie, et pour la télévision, notons latélévision communautaire sur câble à Timmins, la télévision communautaire sur câble à Thunder Bay sur une base régulière ainsi que les émissions du canalcommunautaire de Skyline (Ottawa) ou celles de la...

Share