Abstract

Abstract:

The Sexually Transmitted Disease Inoculation Study of the United States Public Health Service (USPHS) was a short-term deliberate exposure experiment into the prevention of venereal diseases. Between 1946 and 1948, over 1,300 Guatemalan prisoners, psychiatric patients, soldiers, and sex workers were exposed to syphilis, gonorrhoea, and chancroid. USPHS researchers initially proposed hiring sex workers to "naturally" transmit venereal diseases to male subjects who would then be given various prophylaxes. The researchers were interested in studying the effectiveness of new preventative measures. In other words, the USPHS study was designed to transmit venereal diseases heterosexually from an "infected" female body to the men who, it was assumed, were sexually isolated subjects. However, the researchers did record instances of male-to-male disease transmission among their subject populations, instances that challenged the presumption of heterosexuality on which the study was based.

Résumé:

Entre 1946 et 1948, les services de santé publique des États-Unis ont entrepris des études médicales concernant les maladies sexuellement transmissibles. Les chercheurs américains ont délibérément exposé plus de 1 300 prisonniers, patients psychiatriques, soldats et travailleurs du sexe guatémaltèques à des maladies vénériennes, notamment la syphilis et la gonorrhée. Ils ont initialement proposé engager des travailleurs du sexe qui pourraient transmettre les maladies vénériennes « naturellement » aux sujets mâles. Les américains cherchaient un prophylaxie post-exposition efficace. Autrement dit, les études au Guatemala étaient conçues pour transmettre de maladies vénériennes par voie hétérosexuelle, d'une femme « infectée » à un homme qu'ont présumait était isolé du sexe. Toutefois, les chercheurs ont enregistrés des cas de transmissions sexuelles entre hommes. Ces cas discréditent la présomption d'hétérosexualité sur laquelle les études ont été conçues.

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