Abstract

Abstract:

Contrary to popular political pundit monkey chatter, the current political economy of the United States is not the result of the Bush Republicans, the Obama/Clinton Democrats, or even the Liberal/Conservative schism stemming from the New Deal era. The creation of the early American republic left numerous issues unresolved and set in motion machinery that has manifested itself in government by Wall Street bankers and war profiteers, a foreign policy dominated by militarism, and an economy hooked on war. By employing a potent combination of a close reading of the sources, good writing, and intellectual honesty, author William Hoge-land connects the dots on the origins of corporate American hegemony.

Résumé:

Contrairement aux idées répandues par le verbiage de politicologues populistes, la situation politicoéconomique actuelle des États-Unis n’est pas le produit des républicains de l’ère des Bush, ni des démocrates de l’ère Obama-Clinton, ni même du schisme entre libéraux et conservateurs à la suite du New Deal. Dès sa fondation, la République des États-Unis d’Amérique a laissé de multiples questions en suspens et enclenché les rouages d’une machine d’État caractérisée par la gouvernance des banquiers de Wall Street et des profiteurs de guerre, une politique étrangère soumise au militarisme et une économie accro à la guerre. Alliant de façon convaincante la lecture serrée des sources, le sens du récit et l’intégrité intellectuelle, William Hogeland remplit les blancs sur un portrait de naissance – celui de l’hégémonie étatsunienne de l’entreprise.

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