Abstract

Canadian literature consists of many voices, ranging from indigenous peoples telling their stories to early immigrants chronicling their journeys. Since World War II Dutch-Canadian writers have added their voices to Canadian literature. Yet, with the exception of Guy Vanderhaeghe and Aritha van Herk, they receive limited scholarly attention in Canadian literary studies. This review of the early contributions of three Dutch-Canadian writers, John Terpstra, Hugh Cook, and Aritha van Herk, sheds light on their literary work, and shows that these Dutch-Canadian writers are recognized not as “foreign” or “immigrant” writers but have begun to break through the “CanLit” ceiling (Aponiuk 2015, 6, 51).

La littérature canadienne est constituée de nombreuses voix, partant des peuples autochtones qui racontent leur histoire aux premiers immigrants qui font leurs chroniques de voyage. Le mélange de plusieurs traditions littéraires aboutit à la formation d’une littérature véritablement canadienne. Mais, ceux qui étudient la littérature canadienne tendent à négliger cette grande variété de la littérature. Les auteurs canadiens-néerlandais ont ajouté leurs voix à la littérature canadienne après la Seconde Guerre mondiale. Pourtant, à l’exception de Guy Vanderhaeghe et Aritha van Herk, ils reçoivent l’attention limitée de la part des chercheurs dans les études littéraires canadiennes. Cependant, un article sur les écrivains canadiens-néerlandais pourrait aider à répondre à cela et à montrer que les écrivains canadiens-néerlandais sont reconnus non pas comme écrivains “étrangers” ou “immigrants” mais surtout comme ceux qui ont commencé à briser le piédestal de la “CanLit” (Aponiuk 2015, 6, 51).

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