Abstract

L’éco-critique apparaissant marquée par des choix conservateurs, nous voudrions défendre notre attachement commun aux langues ordinaires, au-delà des langues policées et de “belles-lettres” conçues comme activité à part. Notre position critique est un appel à ouvrir le champ de l’écocritique sur celui plus vaste des courants non purement littéraires tels que les Nouveaux Matérialismes. Ceux-ci fournissent des outils pour penser autrement le rapport texte-monde en-dehors d’un analogisme rhétorique sans contrefort. Nous proposons d’effectuer un “pas de côté,” ouvrant l’écocritique sur toutes les langues des signes qui se parlent dans nos pratiques et nos façons d’habiter.

pdf

Share