Abstract

Shell shock was an important object of diagnostic and therapeutic concern in Oxford during the Great War. The efforts of three Oxford physicians–Thomas Saxty Good, William McDougall, and James Arthur Hadfield–are of particular significance to our story. All worked on the problem at various sites throughout the city. They often collaborated. All were committed to employing innovative techniques such as psychotherapy and hypnosis. Each rose, to differing extents, to prominence in the field of psychological medicine during the succeeding decades. Yet all have been neglected in the current historiography. I argue that a close examination of their practices reveals a curious combination of therapeutic pragmatism and psychoanalytically informed techniques that later helped inform clinical psychology’s challenge to psychiatry’s dominance over the concept and care of mental disorder.

Résumé:

« Les commotionnés de guerre » ont été un sujet de diagnostic et un enjeu thérapeutique important à Oxford durant la Première Guerre mondiale. Les efforts de trois médecins d’Oxford–Thomas Saxty Good, William McDougall, et James Arthur Hadfield–sont d’un intérêt particulier pour notre histoire. Tous ont travaillé sur ce problème à divers endroits de la ville. Ils ont souvent collaboré. Ils s’affairaient tous à utiliser des techniques innovantes tels que la psychothérapie et l’hypnose. À des degrés divers, ils sont devenus des sommités dans le domaine de la médecine psychologique durant les décennies suivantes. Pourtant, ils ont été négligés par l’historiographie actuelle. Cet article soutient que l’examen attentif de leurs pratiques révèle une curieuse combinaison de pragmatisme thérapeutique et d’approches psychanalytiques qui nous éclaire sur le défi que la psychologie clinique a par la suite posé à la domination de la psychiatrie sur le concept et les soins des troubles mentaux.

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