Abstract

The bioregulation of salmonid species on island Newfoundland shows how specific social fault-lines can enhance, cross-cut or combine in new ways to affect larger structural formations, such as class and rural/urban divides. Seemingly innocuous regulatory bureaucracies involving sport versus subsistence fishing can serve as technologies of power and disguise larger issues involving social and economic control over rural and lower-class populations. Fault-lines show that these forms of control do not have uniform effects and can result in a complicated practice that has to take into account pressures emitting from the regulators and the regulated.

Abstract

La bioréglementation des espèces de salmonidés sur l’île de Terre-Neuve montre comment des lignes de faille sociales peuvent s’exacerber, se recouper ou se combiner pour affecter des formations structurales plus importantes, telles que les divisions en termes de classe sociale et entre milieux urbains et ruraux. Des bureaucraties de réglementation en apparence inoffensives qui mettent en opposition les pîcheries de subsistance et la pêche sportive peuvent s’avérer des technologies de pouvoir camouflant des enjeux plus larges faisant intervenir un contrôle social et économique sur des populations rurales et de classe inférieure. Les lignes de faille montrent comment ces formes de contrôle n’ont pas un effet uniforme et peuvent générer une pratique compliquée devant tenir compte des pressions émanant à la fois des organismes de réglementation et des personnes soumises à leur régulation.

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