Abstract

As the first Chinese-Canadian woman to occupy the position of Governor-General of Canada, Adrienne Clarkson attracted special attention from the start of her appointment. However, both the praise for her performance and the criticism of her alleged shortcomings drew extensively on reports in the media that accompanied her previous work, over several decades, as a journalist, editor, and diplomat. Clarkson’s travels in the company of representatives from the arts, sciences, and commerce were a special target, yet Clarkson has cited these, along with the lessons learned during past travels including a trip to China in pursuit of her heritage, as proof of a successfully fulfilled mandate. Thus, Canada’s House: Rideau Hall and the Invention of a Canadian Home (2004), a book produced by the historian Margaret MacMillan and others “in conversation with Adrienne Clarkson and John Ralston Saul,” describes Rideau Hall as the focal point of international mobility. This article looks at women and the office of Governor-General in Canada, including the “chatelaines” (Governor-Generals’ spouses), concentrating on middlebrow sources and paying special attention to the motif of travel. The purpose is to study the media coverage of the various roles Adrienne Clarkson has played in her professional life as a flashpoint of Canadian attitudes toward ambitious professional women generally and high-aiming ethnic women specifically.

Abstract

À titre de première femme canadienne-chinoise à occuper le poste de gouverneure générale du Canada, Adrienne Clarkson a attiré une attention toute spéciale dès le début de son mandat. Toutefois, tant les éloges pour sa prestation que les critiques de ses supposées lacunes s’étaient largement basés sur des rapports dans les médias qui avaient, durant plusieurs décennies, accompagné son travail antérieur comme journaliste, éditrice, et diplomate. Les voyages d’Adrienne Clarkson avec des représentants des arts, des sciences et du commerce étaient une cible de choix, et elle a quand même parlé de ces derniers comme des leçons apprises lors de ses voyages précédents, notamment un voyage en Chine à la recherche de ses racines, comme une preuve d’un mandat bien rempli. Ainsi, Canada’s House: Rideau Hall and the Invention of a Canadian Home (2004), un livre produit par l’historienne Margaret MacMillan et d’autres « lors de conversations avec Adrienne Clarkson et John Ralston Saul », décrit Rideau Hall comme le point focal de la mobilité internationale. Le présent article jette un coup d’oeil sur les femmes et le poste de gouverneur général au Canada, y compris sur la « châtelaine » (épouse du gouverneur général), et se concentre sur des sources grand public en apportant une attention spéciale aux raisons du voyage. L’objectif vise à étudier la couverture médiatique des divers rôles joués par Adrienne Clarkson au cours de sa vie professionnelle comme un point culminant des attitudes canadiennes envers les femmes professionnellement ambitieuses en général et les femmes d’origine ethnique visant haut.

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