Abstract

Il est clair que la confiance du public envers les policiers est un facteur important et elle risque de varier selon le groupe culturel/racial et la région canadienne. Par contre, lorsque les données nationales sont utilisées, les différences de perception sont examinées du point de vue des « minorités visibles » en tant que groupe mixte comparé aux minorités « non visibles ». À l’aide de données recueillies lors de l’Enquête sociale générale sur la victimisation de 2009, nous raisonnons que parler des perceptions des « minorités visibles » envers les policiers est une simplification exagérée. Une catégorie de personnes aussi grande cache des moyens plus nuancés qui font en sorte que certains groupes diffèrent d’autres groupes sur divers sujet et à divers endroits.

Abstract

Public confidence in the police is obviously important and is likely to vary across racial/cultural groups and across Canada. However, when national data are being used, differences in views are generally examined through the lens of visible minorities as a composite group compared to non-visible minorities. Using data from the 2009 General Social Survey on Victimization, we argue that it is an oversimplification to talk about the views of visible minorities in relation to the police. Such broad categories of people hide the more nuanced manner in which some groups differ from others on some questions in some locations.

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