Abstract

Trente ans d’études sur les perceptions des Canadiens ont entraîné un changement d’approche, tant académique que politique, à la compréhension des perceptions du public à l’égard du crime et des sentences. Les contributions de Anthony Doob et de ses collègues ont influencé la méthodologie, comme l’inclusion de modèles expérimentaux, ainsi qu’un engagement sous-jacent à la compréhension des perceptions du public à l’égard du crime et son lien avec les politiques. Cette étude examine des constatations clés découlant de ce corpus et l’impact de ce travail sur les politiques actuelles en matière de droit pénal au Canada. Malgré l’importance de ce corpus sur la recherche portant sur les perceptions du public, l’impact sur les politiques en matière de droit pénal semble diminuer.

Abstract

Three decades of research on public perceptions in Canada has fundamentally shifted academic and policy approaches to understanding public views of crime and punishment. The contributions of Anthony Doob and his colleagues have influenced methodology, such as the inclusion of experimental design, and have supported an underlying commitment to understanding the public’s view of crime and its relationship to policy. This article examines key findings coming out of this body of research and the impact of this work on current criminal justice policy in Canada. Despite the significance of this body of work on public perceptions research, the impact on current criminal justice policy appears to be diminishing.

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