Tear into the Guts: Whitman, Steinbeck, Springsteen, and the Durability of Lost Souls on the Road

This article investigates the relationship between the concepts of freedom and confinement and the metaphor of “the road” in the works of three significant American cultural figures. A close analysis of the formal elements of the poetry of Walt Whitman, the novels of John Steinbeck, and the songs of Bruce Springsteen reveals a negation at the core of durability. These narratives pit characters, readers, and listeners against the ideology of freedom that structures road narratives and American durability. Whitman’s version of the road is open and apparently available to all, whereas Steinbeck’s version inverts these terms, making the road a place of oppression and confinement. Beginning to unveil these contradictions, Springsteen’s music grasps the weight and emptiness of the road as a cultural signifier. Finally, the article argues that only through collective thought and action within and against the contradictions inherent in durability can we stop simply persisting and start living.

Le présent article étudie la relation entre les concepts de liberté et le confinement et la métaphore de « la route » dans les oeuvres de trois personnalités culturelles américaines. Une analyse approfondie des éléments formels de la poésie de Walt Whitman, des romans de John Steinbeck et des chansons de Bruce Springsteen révèlent une négation au coeur de la durabilité. Ces narratifs dressent les personnages, les lecteurs, et les auditeurs contre l’idéologie de la liberté qui forme la structure des narratifs des routes et la durabilité américaine. La version de Whitman en ce qui a trait à la route est ouverte et apparemment accessible à tous, tandis que celle de Steinbeck inverse ces termes, faisant de la route un endroit où règnent l’oppression et le confinement. En commençant à dévoiler ces contradictions, la musique de Springsteen saisit le poids et le vide de la route comme un signifiant culturel. Enfin, cet article préconise que seulement par le truchement de l’action et de la pensée collective dans et contre les contradictions inhérentes à la durabilité pouvons-nous arrêter de simplement subsister et commencer à vivre.