Abstract

Toronto's Rochdale College (1968–1975) represented something much more than simply a new venue for countercultural experimentation and identity in the centre of English Canada's biggest city. It served as a bridge between the hip emphasis on public performativity that characterized the Yorkville scene of the mid-1960s and the more private hip separatism of the early 1970s. The symbolic association between Rochdale and impenetrability was central to both Rochdalians' self-identification and its perception by outsiders; there also were connections between Rochdale and the broader trend toward hip separatism in the years after 1968.

Le Collège Rochdale de Toronto (1968–75) fut bien plus qu'un nouveau lieu d'expérimentation et d'identité contre-culturelles au cœur de la plus grande ville du Canada anglais. Il fit le pont entre les accents hippies mis sur la performativité publique, qui caractérisent la scène yorkvillienne du milieu des années 1960, et le séparatisme hippie, plus privé, du début des années 1970. L'association symbolique entre Rochdale et l'impénétrabilité fut au cœur de l'auto-identification des rochdaliens comme de leur perception par les autres. Rochdale fut aussi en lien avec la tendance plus globale du séparatisme hippie après 1968.

pdf

Share