Abstract

This paper, reading from Gayatri Spivak's ongoing revisions of her critique of subalternity, examines how the rebel figure in the 2001 screwball comedy Zoolander is brought into being and draws out the represented power structures according to broader social patterns in Hollywood depictions of resistance. While Zoolander is caught up in a politics that might lead to displaced forms of representation, its visual spectacle, juxtaposing poverty and opulence, illustrates a continuing problem in popular visual depictions of resistance and political struggle, a problem that requires analysis on a transnational scale.

Le présent article, qui interprète les révisions en cours par Gayatri Spivak de sa critique de la subalternité, examine comment le personnage rebelle de la comédie dingue de 2001 Zoolander prend vie, et en tire une structure du pouvoir fondée sur la structure sociale plus vaste de la représentation hollywoodienne de la résistance. Bien que Zoolander soit aux prises avec un problème politique qui pourrait entraîner un déplacement des formes représentatives, son spectacle visuel qui juxtapose la pauvreté et l'opulence illustre un problème continu associé aux représentations visuelles populaires de la résistance et de la lutte politique, un problème qui exige une analyse qui transcende les frontières.

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