Abstract

L’autofiction doubrovskienne n’est-elle pas la réponse singulière d’un homme aux douloureuses années de guerre puis sa lente métamorphose par l’alchimie du verbe en une fiction de soi? Puiserait-elle ainsi son origine dans les années 40? Cet article se propose d’analyser leur rôle dans la poétique de l’auteur.

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