Abstract

En 2007, Koffi Kwahulé joue lui-même le rôle de Shadow dans une reprise parisienne de Cette vieille magie noire. La présence très concrète du jazz dans cette première pièce est une occasion d’étudier la nature de l’influence de la musique sur l’écriture de l’auteur et de mettre ainsi en perspective ce qui apparaît aujourd’hui comme clé essentielle dans la compréhension de son univers de dramaturge et d’écrivain.

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