Abstract

Though the story of the Royal Ontario Museum's founding usually deals with Charles Trick Currelly and Sir Edmund Walker as the diarchy, it is also possible to rethink this figuration and place George Crofts also at the centre of the ROM's history. His selfless collecting on behalf on the museum gave it a clear lead in establishing itself as a repository of East Asian objects. All these men exploited the arrangements made possible by a global empire, another factor in the ROM's rise to cultural prominence. The linkages between their various activities show us a work-in-progress, a case study of the ways in which institutions embody from their beginning the questions of ownership and provenance that continue to concern cultural collectors.

Bien que la fondation du Musée royal de l'Ontario soit généralement associée à la dyarchie de Charles Trick Currelly et Sir Edmund Walker, on pourrait réviser cette figuration pour inclure George Crofts au centre de l'histoire du MRO. Sa généreuse collecte d'artéfacts pour le Musée permit à celui-ci de devenir un chef de file dans la collection d'objets de l'Asie de l'Est. Tous ces hommes profitèrent des circonstances créées par un empire global (un autre facteur qui a placé le MRO sur un piédestal culturel). Les liens entre leurs diverses activités nous montrent une œuvre en cours d'élaboration—une étude de cas illustrant les façons dont les établissements incorporaient dès le début les questions de propriété et de provenance qui continuent d'intéresser les collecteurs culturels modernes.

pdf

Share