Abstract

Any description of what it means to know a word in a foreign language is likely to include recognition of form, both how a word sounds when heard and what it looks like when written. However, tests of vocabulary knowledge focus almost exclusively on the written form of the word. We have little idea of learners' phonological vocabulary knowledge or how it might interact with orthographic knowledge. It is suspected that written vocabulary tests may underestimate the vocabulary knowledge of native Arabic speakers, who often handle English orthography poorly. This paper reports a comparison of the phonological and orthographic vocabulary sizes of Greek and Arabic native speakers. Results suggest that written tests do not underestimate Arabic speakers' vocabulary size. The two aspects of vocabulary knowledge develop differently with language level. Very proficient learners of EFL are characterized by an orthographic word recognition much greater than their phonological word recognition.

Toute définition de ce que cela veut dire de connaître un mot dans une langue étrangère devrait inclure la reconnaissance de sa forme, tant sonore quand on l'entend qu'écrite quand on le voit. Toutefois, les examens visant à évaluer la connaissance du vocabulaire se concentrent presque tous exclusivement sur la forme écrite des mots. Nous en savons peu sur le vocabulaire phonologique des apprenants ou son lien avec le vocabulaire orthographique. On soupçonne que les examens écrits ne reflètent pas les connaissances en matière de vocabulaire des arabophones, qui ont souvent de la difficulté avec l'orthographe anglaise. L'article signale qu'une comparaison de la taille des vocabulaires phonologiques et orthographiques a été effectuée chez des personnes dont la langue maternelle est le grec ou l'arabe, et les résultats obtenus aux examens ont correspondu à la taille du vocabulaire des arabophones. Les deux aspects de la connaissance du vocabulaire se développent différemment selon le niveau de langage. Chez les apprenants très compétents en ALS, la reconnaissance orthographique des mots est supérieure à la reconnaissance phonologique.

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