Abstract

Abstract
Drawing on the social movement literature, this paper tests whether or not Canadian Aboriginal protest, 1951–2000, can be explained by resource mobilization, political opportunities, or the construction of a PanAboriginal collective identity. Using regression analysis it argues that the strongest influences on protest are the founding of new organizations, federal monies, media attention, and successful resolution of land claims. The paper also concludes that differences among "status groups," and their access to resources and opportunities, inhibit broad based PanAboriginal protest.

Cet article se base sur la discipline de mouvements sociaux pour tester si les démonstrations d'autochtones canadiens peuvent être expliquées par les théories de mobilisation de ressources, d'opportunités politiques ou d'identité collective Pan- Autochtones. En utilisant une analyse de régression, l'article maintient que les influences les plus considérables sur les démonstrations sont l'établissement de nouveaux organismes, l'aide fédéral, l'attention médiatique ainsi que la résolution favorable de disputes territoriales. L'article conclu également que des différences entre les « groupes de statuts » ainsi que dans leur accès à des ressources et opportunités ont une influence néfaste sur les démonstrations Pan-Autochtones plus étendu.

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